PDA

View Full Version : Un athlète



crushee
11-26-2010, 03:40 AM
Extract from the description of a male athlete:
(...)
Description sexe :
Verge : au repos, sa verge n’est jamais molle, mais toujours agréablement ferme ; elle ne pend jamais verticalement, mais environ à 45 degrés vers l’avant, bien dans l’axe du corps ; elle atteint près de 10 cm de long, pour environ trois à quatre centimètres de diamètre ; la peau fine, glabre, brune, marquée de fortes veines bleu très foncé ; le gland rouge sombre, circoncis, de la taille d’une noix, porte sur le côté gauche une petite marque bleu foncé, presque noire, indélébile, vestige ancien d’un piétinement au talon aiguille ;

Testicules :
Volumineux, lourds, toujours extrêmement durs, bien séparés, pendant très bas au repos ; le gauche, un peu plus gros (de la taille d’une prune alors que l’autre est de la taille d’une noix), descend nettement plus bas que le droit.
Les épididymes, renflés, fermes et très sensibles à la pression d’un ongle sont deux zones de prédilection de ses tortionnaires ; sa maitresse aimant bloquer un testicule entre l’ongle du pouce d’une part, l’index et le majeur d’autre part, puis labourer ainsi la surface du testicule avec son pouce, en cherchant les zones les plus sensibles et y en enfonçant alors l’ongle avec une pression inouïe, souvent jusqu’à ce qu’il perde connaissance…
Les cordons spermatiques sont épais et durs, mais là encore particulièrement douloureux au pincement, avec en plus l’aspect psychologique de cette torture et la crainte de la **********.

Erection : parfaitement rectiligne et axée, 19 cm de long (7 ½ in), 5 cm de large et 4 d’épaisseur (soit près de 15 cm ou 6 in. de circonférence !) ; les testicules remontent se plaquer contre la racine de la verge dès le début de l’excitation, et les muscles crémaster ont une force telle qu’il est alors quasiment impossible de les en décoller; les veines qui marbrent la peau de la tige se gonflent prodigieusement et le gland atteint le volume d’un abricot ; à l’excitation maximale, lorsqu’il est debout, sa verge est pratiquement plaquée contre la paroi abdominale qui est parfaitement plate, dans l’axe de la « ligne blanche » qui sépare les muscles des deux côtés, le gland à la hauteur du nombril.
Sur la face inférieure, les corps caverneux enveloppent le corps spongieux, extrêmement ferme lors de l’érection ; l’urètre apparait bombé, et ses maitresses adorent planter leurs ongles dans sa longueur en serrant fortement la verge. Lors des éjaculations, la sensation de puissance ressentie en pressant légèrement sur le conduit est phénoménale compte-tenu de l’extrême violence et de l’abondance de ses jets…

to be continued...

cristinadelbon1991
11-26-2010, 05:51 PM
:iluvu:
Merci pour la description! (Et excuse moi pour mon mauvais francais...) Elle est merveilleuse. S'il te plait, continue à la publiquer...


Extract from the description of a male athlete:
(...)
Description sexe :
Verge : au repos, sa verge n’est jamais molle, mais toujours agréablement ferme ; elle ne pend jamais verticalement, mais environ à 45 degrés vers l’avant, bien dans l’axe du corps ; elle atteint près de 10 cm de long, pour environ trois à quatre centimètres de diamètre ; la peau fine, glabre, brune, marquée de fortes veines bleu très foncé ; le gland rouge sombre, circoncis, de la taille d’une noix, porte sur le côté gauche une petite marque bleu foncé, presque noire, indélébile, vestige ancien d’un piétinement au talon aiguille ;

Testicules :
Volumineux, lourds, toujours extrêmement durs, bien séparés, pendant très bas au repos ; le gauche, un peu plus gros (de la taille d’une prune alors que l’autre est de la taille d’une noix), descend nettement plus bas que le droit.
Les épididymes, renflés, fermes et très sensibles à la pression d’un ongle sont deux zones de prédilection de ses tortionnaires ; sa maitresse aimant bloquer un testicule entre l’ongle du pouce d’une part, l’index et le majeur d’autre part, puis labourer ainsi la surface du testicule avec son pouce, en cherchant les zones les plus sensibles et y en enfonçant alors l’ongle avec une pression inouïe, souvent jusqu’à ce qu’il perde connaissance…
Les cordons spermatiques sont épais et durs, mais là encore particulièrement douloureux au pincement, avec en plus l’aspect psychologique de cette torture et la crainte de la **********.

Erection : parfaitement rectiligne et axée, 19 cm de long (7 ½ in), 5 cm de large et 4 d’épaisseur (soit près de 15 cm ou 6 in. de circonférence !) ; les testicules remontent se plaquer contre la racine de la verge dès le début de l’excitation, et les muscles crémaster ont une force telle qu’il est alors quasiment impossible de les en décoller; les veines qui marbrent la peau de la tige se gonflent prodigieusement et le gland atteint le volume d’un abricot ; à l’excitation maximale, lorsqu’il est debout, sa verge est pratiquement plaquée contre la paroi abdominale qui est parfaitement plate, dans l’axe de la « ligne blanche » qui sépare les muscles des deux côtés, le gland à la hauteur du nombril.
Sur la face inférieure, les corps caverneux enveloppent le corps spongieux, extrêmement ferme lors de l’érection ; l’urètre apparait bombé, et ses maitresses adorent planter leurs ongles dans sa longueur en serrant fortement la verge. Lors des éjaculations, la sensation de puissance ressentie en pressant légèrement sur le conduit est phénoménale compte-tenu de l’extrême violence et de l’abondance de ses jets…

to be continued...

Kamikaze
11-27-2010, 02:20 PM
De retour avec une belle histoire ;-)

crushee
11-30-2010, 12:05 AM
Merci !

(...)

Puissance :

Réactivité :
Erection totale et immédiate à la moindre stimulation, fût-elle un simple regard ou une parole, éventuellement téléphonique ; dès l’érection obtenue, des gouttes de liquide lubrifiant perlent abondamment au méat, devenant rapidement un filet continu.
Présente chaque matin une érection spontanée d’une dureté parfaite, quelle que soit l’activité sexuelle déployée la nuit précédente. Cette érection persiste totalement à l’issue de la première salve d’éjaculations, que celle-ci soit obtenue par masturbation ou par un rapport normal. Une seconde éjaculation est indispensable pour apaiser cette tension ; elle peut intervenir très rapidement après la première. Après cette seconde rafale, et sous réserve de l’absence totale de stimulation, l’érection peut généralement disparaître en une dizaine de minutes ; par contre, si une quelconque cause d’excitation subsiste, fût-ce une simple pensée érotique, il reste totalement dur et est capable de repartir sans délai vers un troisième orgasme d’affilée...

to be continued...

crushee
12-01-2010, 11:32 AM
(...)

Dureté :
De bois dès le début de l’érection, dureté qui persiste intégralement au moins dix minutes après chaque éjaculation. Est capable, même lorsqu’il est totalement dur, de contractions rythmiques et répétées du muscle PC, parfaitement sensibles par une partenaire et ce pratiquement sans limite, ses contractions restant aussi puissantes malgré leur répétition incessante ; parvient ainsi couramment à faire jouir une partenaire tout en restant parfaitement immobile en elle, à l’exception des gonflements et des durcissements provoqués par ces contractions…

to be continued...

crushee
12-03-2010, 02:35 AM
(...)

Ejaculat :
Record de neuf giclées identifiables lors d’une éjaculation ; a une fois ressenti quinze spasmes spontanés lors d’un orgasme, sur une durée de plus d’une minute (sa partenaire a quasiment perdu conscience tant l’orgasme induit chez elle était prolongé) ; y adjoint systématiquement ensuite jusqu’à une dizaine de contractions volontaires du muscle PC, chacune durant d’une à cinq secondes, la dernière maintenue jusqu’à trente secondes sans le moindre affaiblissement ;
Volume moyen émis en une éjaculation nettement supérieur à une cuillère à soupe et plutôt de l’ordre d’une demi-tasse à café, en cinq ou six jets, chacun d’eux sous la forme d’une «corde» continue de plus de vingt centimètres ; après une abstinence de vingt-quatre heures, sa première éjaculation atteint le volume d’une tasse entière ; après une abstinence de quelques jours (moins d’une semaine !), cette quantité de sperme peut atteindre une tasse entière non pas seulement à la première, mais à chacune des deux premières éjaculations compte-tenu de l’intensité de sa production de liquide séminal et des capacités de stockage de sa prostate et de ses vésicules séminales (il convient de rappeler que le volume d’une tasse à café «express» est de l’ordre de 40ml, ce qui caractérise bien les performances hors du commun du sujet);
Debout, les trois premiers jets atteignent largement la hauteur du visage (Il lui est d’ailleurs souvent arrivé de pouvoir recevoir dans la bouche ses deux premières giclées sur l’ordre d’une maîtresse qui lui donne par la suite plusieurs violents coups de botte dans les testicules lorsqu’il ne réussit pas à gober la troisième giclée);

to be contined...

crushee
12-06-2010, 06:10 PM
(...)

Endurance :
Durée de rétention :
Sauf recherche particulière d’un record tel que ci-dessus, il est capable de maintenir une érection absolue pendant au moins deux heures de travail intensif combinant préludes et pénétrations ;
Il peut retenir son éjaculation pendant plus d’une heure de pénétration continue, même sous une activité ininterrompue et très vive ;
Sa forme physique lui permet plusieurs heures de travail intense sans discontinuer ; il est en particulier capable de contracter sans interruption son muscle PC pendant plus d’une minute sans que la contraction ne faiblisse, et ce jusqu’à dix voire quinze fois au cours d’une session ; il peut aussi contracter et relâcher rapidement son PC jusqu’à cent fois de suite, à un rythme soutenu, la puissance de la contraction et donc l’impulsion communiquée à sa verge restant maximale malgré les répétitions ;
Il est même capable, en pleine érection, à deux doigts d’éjaculer, alors que la giclée préliminaire lubrificatrice de liquide vésiculaire vient de partir, de bloquer ses spasmes éjaculatoires par une contraction phénoménale de ses muscles pubiens, contraction qu’il saura maintenir à son intensité maximale plusieurs minutes, sans le moindre relâchement (qui serait fatal !), jusqu’à atténuation suffisante de l’excitation. Sa verge reste totalement raide pendant cet exercice et il est en mesure de poursuivre une activité coïtale soutenue. Avant la première éjaculation d’une session, il est capable de bloquer ainsi deux tentatives d’éjaculation après l’émission pré-éjaculatoire, la première fois tout en poursuivant ses mouvements dans le vagin de sa partenaire, la seconde fois en restant immobile (mais en «subissant» néanmoins les contractions vaginales puissantes de celle-ci, contractions dont Elle augmente bien entendu le rythme et la force afin de tenter de le faire éjaculer malgré lui!) ; il arrive même à repousser dans les mêmes conditions une troisième tentative d’éjaculation à condition de sortir…


to be continued...

crushee
12-09-2010, 07:06 AM
(...)

Persistance de l’érection :

Ne débande absolument pas après la première éjaculation et, grâce à un entrainement intensif, surmonte sans aucune difficulté la période dite réfractaire (l’entrainement comportait systématiquement un écrasement des testicules jusqu’à évanouissement en cas de perte de l’érection lors de la poursuite du rapport après éjaculation) ; il peut ainsi prolonger son travail et parfaire la satisfaction de sa partenaire tout en s’avançant lui-même vers une seconde jouissance ; il ne ressort en général même pas du vagin de sa partenaire à ce moment, sauf exigence éventuelle de sa part de changer de préservatif si le rapport est protégé ; il faut préciser que tout candidat à l’écurie qui ne restait pas totalement bandé et capable de poursuivre le rapport sans interruption après la première éjaculation d’une session faisait l’objet d’une sanction immédiate : écrasement d’un testicule jusqu’à évanouissement, puis masturbation jusqu’à éjaculation, et écrasement de l’autre testicule jusqu’à évanouissement. Il faisait en outre l’objet d’une mise sous surveillance : si la même faiblesse se reproduisait une fois au cours de la semaine suivante, il était alors castré, en général lentement et douloureusement, et renvoyé sur le champ.

Il en est strictement de même après la deuxième éjaculation, performance déjà bien plus rare que la précédente ; ses nouvelles partenaires sont à chaque fois surprises (et ravies !) de sentir sa verge rester en érection absolue après deux éjaculations malgré la violence et le volume de celles-ci, qu’elles en aient ressenti la puissance des giclées au tréfonds de leur corps ou que l’éjaculat remplisse le préservatif au point de couler le long de la verge toujours parfaitement tendue et de se répandre abondamment à la base de la protection …


to be continued...

crushee
12-14-2010, 06:34 AM
(...)

Après la troisième éjaculation, il arrive parfois, au bout d’une dizaine de minutes, qu’il débande quelque peu, mais cette faiblesse, souvent indécelable par sa partenaire, ne dure que quelques secondes : il rebande, totalement et durablement, quasi-instantanément ;

Débande -au bout d’au moins cinq à dix minutes- après la quatrième éjaculation, mais d’une part, sa verge est toujours « ferme » c'est-à-dire encore capable d’œuvrer dans un vagin accueillant et lubrifié (nombre de ses partenaires qualifient plutôt de «belle érection» l’état de son membre à ce moment là !) et d’autre part, il suffit de quelques dizaines de secondes de stimulation sérieuse des tétons, des testicules ou de l’anus, ou bien de contractions rythmées des muscles vaginaux autour de son membre pour lui redonner une dureté de bois ;

to be continued...

crushee
12-16-2010, 05:48 AM
(...)

Après chaque éjaculation suivante, sa verge demeure suffisamment raide pour lui permettre de poursuivre pendant plusieurs minutes des va-et-vient profonds et énergiques, autorisant une jouissance totale à sa partenaire si elle était d’aventure « en retard », et en tout état de cause, une prolongation notable de la durée de son orgasme. Néanmoins, après débandaison, l’espace entre les érections va croissant, selon la règle des puissances de quatre : après la quatrième éjaculation : quatre minutes avant de rebander, après la cinquième : un quart d’heure (quatre fois quatre égalent seize minutes en théorie !), après la sixième : une heure (quatre fois seize font soixante quatre minutes exactement)… Une maîtresse lui avait d’ailleurs fait remarquer qu’un autre de ses soumis fonctionnait « en mode deux » : le temps pour une nouvelle érection doublait seulement à chaque éjaculation ; elle avait complété l’humiliation en ajoutant que cet autre soumis, qui était bi-, le connaissait, n’ignorait pas ses (relatives) insuffisances et qu’un jour il viendrait vider en lui ces érections supplémentaires…
Cependant, si, même quasiment débandé, il reste engagé dans le vagin musculeux de sa Maitresse, celle-ci a toujours réussi à le faire rebander rapidement par des contractions puissantes et répétées de ses muscles vaginaux…

to be continued

crushee
12-17-2010, 03:27 AM
(...)

Répétition d’éjaculations : Dès l’érection obtenue, il est capable d’éjaculer en moins de deux minutes, par pénétration ou masturbation ; son « record » dans ce domaine est d’à peine une minute après pénétration, sa partenaire ayant provoqué cette explosion digne d’un lapin en lui travaillant puissamment la verge avec ses muscles vaginaux tout en lui malaxant sévèrement les testicules (malaxage qu’elle a, après l’éjaculation, immédiatement intensifié et poursuivi jusqu’à ce qu’il perde connaissance, à des fins éducatives !), dans un tel cas, il redouble l’éjaculation dans les trois minutes, la triple dans les dix minutes et est parfois capable d’une quatrième giclée dans le quart d’heure, le tout sans pratiquement avoir débandé.

En situation « normale », ses performances sont de trois (voire quatre) éjaculations au cours de la première heure de travail (il s’agit de pénétrations sexuelles classiques successives ; lors de séances de masturbation, il atteint couramment quatre et souvent cinq éjaculations en moins d’une heure, voire une fois six !);
neuf en une nuit complète (de vingt et une heures à neuf heures le lendemain), il s’agit là encore du nombre de « rapports » complets ;
quinze en vingt-quatre heures (même remarque), il parvient couramment à vingt-quatre éjaculations sur masturbation dans ce même délai ;
vingt-cinq en un week-end (du vendredi dix-sept heures au lundi dix heures).

to be continued...

crushee
12-28-2010, 04:23 PM
(...)

quinze en vingt-quatre heures (même remarque), il parvient couramment à vingt-quatre éjaculations sur masturbation dans ce même délai ;
vingt-cinq en un week-end (du vendredi dix-sept heures au lundi dix heures).

Il travaille actuellement sur le record de cent éjaculations en une semaine ! Il y est déjà parvenu en combinant rapports sexuels normaux et masturbation ; il vise actuellement les cent rapports en une semaine. Les tentatives ont lieu la première semaine de chaque mois, les partenaires-candidates peuvent s’inscrire au 09 8765 4321 (15,24 €/mn), elles doivent impérativement accomplir des performances sportives de fond (natation 1 000 m en mer ou cross de 5 km avec sac à dos) de niveau national, posséder des muscles périnéaux puissants (test au dynamomètre, portant sur la force et sur la durée de contraction continue, éliminatoire), une musculature des membres supérieurs développée est un plus significatif lors de la sélection (Bonifications pour tractions complètes sur un seul bras et/ou éclatement d’une noix dans la main).

to be continued

crushee
12-29-2010, 06:00 AM
(...)

Rythme courant :
Hors de toute recherche de record, une journée « standard » comprend une dizaine d’éjaculations réparties comme suit :
- deux rapidement enchaînées (« sans débander ») le matin au réveil (deux salves sont en pratique le minimum nécessaire pour évacuer la « tension matinale spontanée » qui se manifeste quasiment tous les matins, quelle que soit l’activité déployée la nuit précédente);
- une ou souvent deux enchainées après le déjeuner ;
- deux, voire trois lors du « cinq à sept », généralement enchainées sans pause ;
- quatre à cinq au cours de la soirée et de la nuit, les deux ou plus généralement les trois premières sans pause.

(to be continued)