View Full Version : The slave farm (fiction in French)
crushee
12-22-2010, 12:12 PM
Dans un souci d’amélioration constante de l’espèce (féminine), et de sa qualité de vie, des fermes d’étalons males ont été crées. Elles sont, bien évidemment, gérées (durement !) par des amazones. La sélection des candidats étalons, leur élevage avec les objectifs qu’ils doivent atteindre et les sanctions pouvant aller jusqu’à leur éventuel renvoi en cas d’insuffisance sont relatées ci-après :
L’étalon modèle est un athlète accompli. Voici la description de l’un d’eux, considéré, actuellement, comme un sujet de grande classe :
Description corps :
Ses muscles sont toujours fermes et toniques. Ils sont parfaitement dessinés, leurs faisceaux nettement séparés, sans sécheresse excessive toutefois.
Au dessus d’une cheville équilibrée, que des années de sports sur glace dans son enfance ont considérablement endurcie sans en altérer la flexibilité, et d’une voute plantaire superbement arquée et forte s’élève une jambe particulièrement puissante, où les deux muscles jumeaux, descendant assez bas, se gonflent prodigieusement lors des ¾ de pointe qu’il pratique sur un seul pied sans difficulté par séries répétées de 50 voire de 100 pour les deux ou trois premières, tenant à la main, pour son équilibre, une haltère de 40 ou de 50 kg, parfois de 90 kg, son poids de corps ; le jumeau externe est à peine plus court que l’interne. Sous ces deux puissants élévateurs, la masse plate du soléaire est particulièrement large et épaisse, fruit d’années de pratique intensive du vélo et notamment du cyclo-cross ; elle déborde significativement à l’intérieur, descendant bien plus bas que les jumeaux et contribuant ainsi à la forme caractéristique en losange de ses mollets, mais aussi à l’extérieur, où à pleine contraction elle forme un long bourrelet saillant en avant du mollet, depuis le jarret jusque bien en dessous du jumeau externe, lui-même toujours notablement long même à sa contraction maximale.
Les cuisses sont deux fortes colonnes de muscles, gages d’une puissance phénoménale, d’une résistance extrême et d’une endurance exceptionnelle, trois qualités confirmées avec enthousiasme par la totalité de ses utilisatrices, sans aucune exception. Sur la face antérieure, le quadriceps est particulièrement bien dessiné, avec le vaste interne en forme de goutte géante qui descend très bas, pratiquement jusqu’au bas de la rotule, le vaste externe, descendant presque aussi bas (configuration remarquable résultant d’une génétique naturellement favorable et d’années de travail en extensions en extrémité de banc avec des charges très lourdes), vaste externe dont le volume et le galbe latéral imposants expliquent les performances remarquables au squat, et enfin le droit antérieur, puissant et particulièrement saillant sur les deux tiers supérieurs de la cuisse, dont la vue de profil est impressionnante ; il est souvent parvenu à faire jouir plusieurs fois de suite une utilisatrice installée à califourchon sur une de ses cuisses par des extensions répétées de la jambe, contractant intensément son quadriceps, massant ainsi puissamment l’intérieur de ses cuisses et insistant, par des montées du genou très légères, mais inlassablement répétées, sur la contraction de son droit antérieur pressant ainsi fortement sa vulve. Il est également capable, assis sur une table haute, de faire se positionner une partenaire à cheval sur le cou d’un de ses pieds et de pratiquer au moins une centaine d’extensions de chaque jambe, amenant là encore plusieurs fois de suite sa maitresse à l’orgasme. Il est d’ailleurs régulièrement utilisé dans cette position, pour des concours d’orgasmes féminins en prenant deux amazones, chacune assise sur l’un de ses cous de pied. La vue de profil permet d’apprécier également le bombé du biceps crural, nettement visible même quand la jambe est totalement tendue, et qui devient phénoménal à mesure que le muscle se raccourcit lors de la flexion ; elle permet également d’apprécier la saillie des fessiers qui chacun, lorsqu’une jambe est élevée vers l’arrière, forment une boule comparable à un ballon de hand, dureté incluse ! Sur la moitié supérieure des cuisses, à leur face interne, les adducteurs sont nettement visibles, volumineux, puissants, mais très souples également puisqu’ils autorisent des écarts extrêmes (il atteint quasiment le grand-écart) … ou des contractions extrêmes, il est par exemple couramment capable, en position assise, de s’amener au moins deux fois de suite, à quelques minutes seulement d’intervalle, à l’éjaculation par des contractions rythmiques de ses adducteurs autour de sa verge préalablement rabattue vers le bas. De telles pratiques de sa part étaient courantes (plusieurs fois par jour) dès la première année de collège (il avait alors à peine onze ans ) pendant les cours où il réussissait à masquer sa jouissance à la plupart de ses professeurs, sauf au professeur de mathématiques (une femme dure, particulièrement avertie, qui dépucelait un élève chaque semaine, en initiait un au SM sévère chaque mois et castrait à moitié -elle laissait, en principe, un testicule plus ou moins fonctionnel- un de ses élèves au moins chaque trimestre …) qui l’envoyait souvent au tableau soit alors qu’il venait d’éjaculer et que son short, compte-tenu de l’abondance de son sperme, était très nettement mouillé ou plus exactement trempé, soit juste avant sa jouissance ce qui cumulait la frustration de cet orgasme manqué avec la gène d’une verge déjà fort longue qui se déployait de plus en plus visiblement à chaque mouvement…
Son tronc est de forme évasée, étroit à la taille, avec les abdominaux très nettement dessinés , chacun d’eux bombé et saillant, la ligne blanche centrale parfaitement rectiligne et visible compte-tenu de sa largeur et surtout de sa profondeur de près de deux centimètres, les abdominaux supérieurs en forme de trapèze, épousant le contour des côtes ; on dénombre huit muscles et non six : il entretient en effet un développement particulièrement puissant de ses abdominaux inférieurs, très nettement visibles, bombés et séparés pratiquement jusqu’au pubis, particulièrement sollicités lors des basculements du bassin, mouvements dont l’unanimité de ses utilisatrices a toujours loué la puissance, l’amplitude, le rythme et l’endurance hors norme… Au dessus, la cage thoracique s’évase, recouverte dans sa partie supérieure par les pectoraux puissants, uniformément épais de plusieurs centimètres, de forme carrée, se rejoignant presque sur le sternum et y créant à pleine contraction un sillon étroit et profond de presque trois centimètres, descendant jusqu’en dessous des tétons. A leur extrémité externe, ils se mêlent aux deltoïdes pour créer une forte amorce des bras. Cette puissance est d’ailleurs confirmée par la pratique : tous ses adversaires mâles en lutte libre, sans aucune exception, ont eu plusieurs côtes brisées, souvent en de multiples endroits, lorsqu’il leur appliquait un bear-hug. De dos, cette force visible est confirmée par des dorsaux volumineux qui cheminent de part et d’autre de sa colonne vertébrale en en masquant pratiquement les apophyses, par les trapèzes, les muscles du cou et encore une fois les deltoïdes, superbes de rondeur tant latéralement que vers l’avant ou l’arrière.
Chapeautés par ces deltoïdes impressionnants dont les différents faisceaux sont nettement dessinés, ses bras sont à l’unisson en matière de volume et de définition. Le biceps, muscle-roi du bras, est saisissant tant par sa largeur que par sa longueur : uniformément cylindrique lorsque le bras n’est pas fléchi, il descend très bas vers la saignée du coude, et sa largeur ne diminue nullement jusqu’à son apophyse distale double particulièrement ramassée ; à mi-flexion, les rotations de pronation-supination de l’avant-bras sont spectaculaires dans leurs effets sur l’extrémité inférieure du biceps et sur son contour : pendant que le renflement de la tête du muscle remonte de plusieurs centimètres avec la pronation, la forme du muscle évolue très sensiblement du cylindre vers la sphère. Il n’atteint toutefois cette parfaite forme de boule, de la taille d’un pamplemousse, qu’à la contraction maximale, le coude levé au dessus de l’épaule, le poignet derrière la nuque. La sécheresse de sa peau, sans être excessive bien entendu, permet toutefois de distinguer très nettement les deux faisceaux du biceps, chacun ayant une tête caractérisée. Dans toutes ses flexions, ce muscle est accompagné par un brachial-antérieur large et très épais, dont la saillie à l’extérieur en flexion totale du bras est impressionnante ; en extension, il « soulève » carrément le biceps et lui donne, vu de profil, un gonflement significatif au dessus du coude. Last, but not least, le triceps est superbement dessiné en fer à cheval, avec le faisceau externe très saillant et bombé et le faisceau interne massif, très épais et extrêmement long, descendant presque jusqu’au coude en extension ; à pleine contraction, il saillit notablement des deux côtés du bras tendu, interne comme externe, et cette double saillie est parfaitement visible de devant, malgré le volume impressionnant du biceps.
L’avant bras est pratiquement aussi gros que le bras, et notablement renflé à mi- longueur. Il en résulte une puissance d’écrasement extrême. Il est fréquent qu’il broie douloureusement les métacarpiens des personnes à qui il serre la main, allant jusqu’à provoquer de petites fractures des apophyses. Au bras de fer, lutte dont il sort toujours vainqueur, il force souvent la rotation de son bras, gonflant le biceps à son maximum, jusqu’à luxation complète et en général non ou difficilement réductible du poignet de l’adversaire ; parfois, la brutalité et la puissance de son mouvement lui permettent de fracturer l’avant-bras de son adversaire, fracture nettement audible en général, qu’il fait alors cyniquement suivre de plusieurs mouvements de torsion amples pour l’ouvrir et en rendre infiniment plus délicate la réduction. Chaque muscle de son avant-bras est nettement défini, et leur jeu ainsi que leur tension lors des mouvements du poignet ont été qualifiés de fascinants par la plupart de ses Maîtresses ; certaines lui avaient parfois ordonné, alors qu’il était en pleine érection, de se malaxer lui-même fortement les testicules, jusqu’à ce que la douleur le fasse débander totalement, et elles étaient prodigieusement excitées par la puissance avec laquelle il s’auto-torturait et la contraction visiblement terrible de ses bras et surtout de ses avant-bras alors que, malgré la violence de cette torture, sa verge ne s’inclinait qu’avec une extrême lenteur…
Une Maîtresse lui avait fait achever la ********** de son soumis précédent dont Elle avait déjà quelque temps auparavant totalement broyé un testicule (en ressentant un orgasme inouï au moment précis où Elle avait senti la glande éclater sous Ses doigts, orgasme qu’Elle avait prolongé plusieurs longues minutes en continuant à écrabouiller la glande irrémédiablement fracturée…) et dont le second Lui résistait trop ; le jeu impressionnant des muscles de son avant- bras droit lors de l’écrasement final de la glande condamnée L’avait excitée au moins autant que la destruction elle-même…Elle avait atteint un premier orgasme, pratiquement instantanément, simplement en caressant son bras dont les muscles se contractaient prodigieusement pendant qu’il écrasait le testicule rétif de son prédécesseur. Il était lui-même tout aussi excité et avait, quelques instants plus tard, sans aucun contact avec sa propre verge, éjaculé plusieurs giclées violentes et abondantes (de véritables jets continus) sur le visage de sa victime au moment précis où il avait senti cette couille rétive céder sous ses doigts et s’écraser complètement ; la simple vision de cette phénoménale éjaculation spontanée avait immédiatement provoqué chez Elle un second orgasme, très bref mais beaucoup plus intense que le précédent ; comme il restait fermement bandé après cette spectaculaire éruption dans le vide, Elle l’avait enfourché et avait rapidement ressenti un troisième orgasme à côté du soumis évincé qui râlait de douleur, prostré à terre. Quittant son nouvel étalon juste avant qu’il n’éjacule une deuxième fois, Elle avait alors, sans douceur, rabattu sa verge parfaitement tendue pour la diriger à nouveau vers le visage de Son ancien soumis, le noyant encore une fois sous le sperme toujours aussi abondant de son successeur. Malgré la torsion brutale de sa verge, il demeurait totalement raide après ces deux éjaculations coup sur coup (performance de bon augure !) et Elle lui avait alors ordonné de sodomiser son prédécesseur -pratiquement à sec, sauf les reliquats de sa pénétration précédente-, tâche dont il s’était acquitté sans broncher alors qu’il était -jusque là- farouchement hétéro. Pendant cette sodomie, Elle avait ressenti à nouveau un orgasme délicieusement prolongé en malaxant durement le testicule qu’il venait d’éclater, pour en vérifier la destruction : la gonade avait littéralement explosé; en s’acharnant sur l’extrémité du cordon, zone qui restait encore un peu ferme et avait probablement conservé toute sa sensibilité, Elle avait achevé de l’écrabouiller par de puissants et lents mouvements circulaires de Son pouce contre l’index et le majeur et avait fini par faire du testicule une véritable bouillie informe. Sous les effets conjoints de la sodomie dévastatrice qu’il subissait et du broyage impitoyable de ce qui restait de ses testicules, l’infortuné soumis évincé avait laissé échapper d’une bite qui manifestait un semblant d’érection pitoyable de faibles et très lentes coulées d’un liquide ayant la consistance du sperme, mais pratiquement de couleur rouge… Après avoir sodomisé son prédécesseur, Son nouveau soumis était ressorti, à peine débandé, et Elle avait ordonné à l’ancien de nettoyer sa verge en la léchant, ce qui lui avait immédiatement redonné une dureté absolue ; très excitée par de telles performances -il rebandait instantanément après trois éjaculations enchainées- Elle s’empala à nouveau sur lui et réussit à atteindre deux orgasmes avant de le quitter et de le laisser exploser une nouvelle fois (la quatrième !) dans le vide, encore très abondamment et aussi puissamment et toujours pratiquement sans la moindre débandaison à l’issue de ses giclées…
Comme Elle, il était capable de broyer une pomme verte ou une patate crue dans une main ; comme Elle, il était capable de faire éclater une noix d’une main, mais lui y parvenait avec le pouce et l’index seuls, alors qu’Elle avait besoin de toute la main ; il arrivait aussi, à deux doigts, à faire éclater des noyaux de pêches… les testicules de Son soumis précédent n’avaient eu aucune chance…
to be continued...
crushee
12-23-2010, 01:16 AM
(...)
Performances : Bras : curls barre chargée au poids du corps (90 kg) : huit à dix séries de 20 à la suite, en alternant prises en pronation et en supination, prises rapprochée et écartée, prises symétrique ou inversées, la montée est rapide, presque explosive, la position tenue trois secondes en haut à contraction maximale, la descente complète, toujours très lente, avec arrêt et petite oscillation à mi-course ;
curls barre chargée à la moitié du poids du corps (45 kg), mains en pronation : est capable de 500 flexions de suite, sur un rythme très rapide ;
curls d’un seul bras : maximum de 50 kg : quatre flexions complètes consécutives, tenues cinq secondes en haut (trente secondes pour la dernière), coude totalement détendu en bas ; 40 kg : deux fois dix flexions rapides pour chaque bras ; 30 kg : plusieurs séries de 50, alternativement rapides et lentes ; s’entraine régulièrement pour arriver à un curl d’un bras au poids du corps (90 kg) : il n’atteint pas encore l’angle droit… les entraînements comprennent soit des tentatives répétées de curl avec maintien aussi long que possible de la position maximale atteinte, soit entrainement en « charges négatives », partant de la contraction complète (atteinte par une aide extérieure) et en retenant au maximum la charge en descendant, soit le maintien d’un bras avec l’haltère dans cette position fléchie au maximum pendant qu’il se masturbe de l’autre main, avec interdiction de relâcher la position tant qu’il n’a pas éjaculé ; après un repos de deux minutes, l’exercice est ensuite effectué de l’autre main, ce qui est plus long et donc difficile compte tenu de la congestion du bras qui après avoir maintenu la contraction avec l’haltère doit maintenant masturber et du délai inhérent à la répétition de l’éjaculation, même si chez lui un tel délai n’apparait pas significativement avant au moins la troisième jouissance consécutive ;
curls caressants : un bras fléchi à 90°, son utilisatrice se place à califourchon sur son avant-bras auquel il imprime un mouvement de rotation alternatif pronation-supination, le mouvement incessant du radius, du cubitus et des muscles de son avant-bras contre sa culotte et son intimité l’amène en quelques minutes à la jouissance ; il souhaiterait qu’elle se place au plus près de son coude pour diminuer l’effet de levier et donc la terrible tension qui déchire son biceps, elle exige au contraire de se placer assez loin du coude, pratiquement au poignet, là où l’amplitude de la rotation est plus sensible ; elle se place en général face à lui, pour pouvoir d’une part admirer son biceps en pleine congestion, d’autre part torturer ses tétons avec une violence terrible au moment de Son orgasme ;
tractions amplitude maximale, jambes tendues serrées à l’équerre ou écartées au niveau du visage, prises de mains variées (écartées, serrées, croisées ; en pronation, en supination ou mixte), coude complètement détendu en bas, montée rapide (contraction quasiment « explosive » des biceps) mais sans le moindre balancement du corps à son début, barre au niveau des clavicules lorsque les mains sont en pronation, au niveau des tétons (ce qui implique un travail de force particulièrement intense pour les pectoraux et les dorsaux) lorsqu’elles sont écartées en supination, tenue trois secondes (dix secondes pour la dernière), descente très ralentie (cinq à dix secondes) avec arrêt et double oscillation lente et nettement visible à mi-parcours : une série de cinquante puis trois à quatre de vingt ;
en position de tractions à la barre fixe, les mains écartées en pronation, amène les tétons contre la barre puis, par de petites mais puissantes rotations de l’épaule, les fait frotter contre celle-ci jusqu’à l’orgasme qui comporte généralement au moins sept ou huit giclées très volumineuses et extrêmement puissantes (les trois premières dépassent significativement la hauteur de la barre); est capable, après une abstinence d’une semaine, de jouir deux fois de suite de cette façon en étant nu et sans aucun contact avec son membre ; ces éjaculations « dans le vide » ne lui apportent, du fait de l’absence de contact, pratiquement aucun soulagement . Pour la deuxième éjaculation, il arrive que sa formatrice l’aide ( !) en cravachant ses testicules tout en prenant soin de ne pas toucher sa verge ou en saisissant l’une des glandes entre trois doigts et en la lui écrasant sans pitié. Bien qu’il reste (comme toujours) totalement bandé après la seconde éjaculation, et manifestement encore très excité, il n’a pas encore, à ce jour, été capable d’une troisième éjaculation enchainée dans ces conditions bien qu’Elle lui impose souvent de poursuivre le mouvement pendant plus de cinq minutes sans interruption après la seconde salve (voire même une fois un quart d’heure, ce qui a entrainé pendant plusieurs jours de douloureuses courbatures dans toute la moitié supérieure de son corps).
tractions « lestées » (ceinture ou sac à dos chargé à 90 kg ou utilisatrice accrochée à la taille) : quinze de suite ; a déjà « subi » dans ce mouvement des fellations par une amazone accrochée à ses cuisses, en jouissant violemment (cinq giclées puissantes et extrêmement volumineuses d’après sa partenaire !) dès la huitième traction, tout en poursuivant lentement mais régulièrement l’exercice avec sept tractions de plus, jusqu’aux quinze prévues (à l’issue desquelles, malgré son éjaculation très abondante et la fatigue musculaire, il était encore en érection absolue) ;
tractions « dorsales » : à la barre fixe, mains écartées, en pronation, rejette les bras en arrière au début de la montée et passe la tête devant la barre, en venant la toucher avec le haut des omoplates (un simple toucher de la nuque n’étant pas admis) : trois séries de quinze ;
tractions « basculées » : à la barre, tractions en pronation depuis une extension totale, sans le moindre élan, avec dès le quart du mouvement un basculement des jambes tendues et du tronc vers l’avant et le haut pour finir les jambes à la verticale au dessus de la barre : cinq séries de vingt ; il est courant qu’il éjacule spontanément au cours de ce mouvement, c’est d’ailleurs systématique si sa verge est serrée entre ses cuisses ; il peut alors facilement éjaculer deux fois en quelques minutes et s’il sort d’une période d’abstinence de deux jours ou plus, trois voire quatre fois en moins d’un quart d’heure…
tractions d’un bras en supination (avec extension totale du coude en bas, contact du poignet et du téton en haut), vingt, puis dix, puis deux fois cinq sur chaque bras, les deux dernières de chaque série étant effectuées à l’extrême ralenti (montée en dix secondes, descente en vingt) mais sans interruption et menées jusqu’à leur terme ; subit régulièrement, alors qu’il est en position haute, des fellations en devant rester accroché d’une main, le bras toujours fléchi à son maximum, jusqu’à éjaculation ; après celle-ci et repos d’une minute, il doit exécuter le même exercice en étant accroché de l’autre bras…
tractions d’un bras en pronation : trois fois dix sur chaque bras, cinq fois sur chaque s’il change de bras après chaque série…
tractions « masturbatoires » : se tenant à une barre fixée à un mur, la tension des pectoraux plaque le bassin contre le mur, des oscillations d’amplitude moyenne provoquent alors un frottement de la verge sur le mur (celle-ci est protégée par un caleçon ou lubrifiée par du gel douche si l’exercice à lieu dans une salle d’eau ; la verge peut se trouver orientée vers le haut, ce qui provoque le frottement de la face la plus sensible, ou vers le bas, ce qui rend la tension plus gênante compte-tenu de la courbure imposée ), il peut effectuer ces tractions sans interruption jusqu’à éjaculation ce qui ne demande en général que quelques dizaines de secondes, mais peut prendre près d’un quart d’heure s’il a déjà joui plusieurs fois peu de temps avant ou si sa Maîtresse lui impose de jouir deux voire trois fois de suite de la sorte ; la position lui permet d’observer ses volumineux biceps congestionnés par la contraction continue, ce qui, compte-tenu de sa tendance narcissique, accroit bien évidemment son excitation ;
tractions à une poutre, les mains en pronation, les dernières phalanges des doigts seulement sur la face supérieure de la poutre, mouvement effectué très lentement, sans à-coup (montée en dix secondes, descente en vingt secondes) : plusieurs séries de douze ;
demi-tractions : l’angle du coude varie de 135° à 45°, en pronation, écartement des mains égal à celui des épaules, dix à quinze minutes sans s’arrêter ;
grimper de corde bras seuls, jambes tendues écartées à la hauteur du visage : quatre hauteurs de huit mètres de suite (descentes lentes, toujours bras seuls et jambes toujours tendues), le départ de chaque hauteur se faisant bras totalement tendu, d’une seule main, après une immobilité de dix secondes ;
grimper de cordes bras et jambes, lesté (partenaire accrochée dans le dos, ou sac à dos chargé à son propre poids) : cinq montées et descentes de suite (hauteurs standard de huit mètres) ;
grimper de corde bras et jambes ininterrompu : plus de cinq minutes sans interruption (20 à 25 hauteurs de 8m.) ;
grimper de corde aux JMP (Journées Musclées Parisiennes, organisées chaque année en juin avec une épreuve de grimper jusqu’au premier étage de la Tour-Eiffel, 50m) : il peut accomplir deux grimpers successifs, le premier bras seuls pratiquement jusqu’à l’étage (il a été mesuré à 41m en 2009) ; en 2008, une Femme plus musclée que lui, surtout des bras, et plus légère (75kg au lieu de 90), a accompli deux montées et demi (125m), la totalité de la première montée, la descente ainsi que les vingt premiers mètres de la seconde montée sans l’aide des jambes ; subjugué, il était allé se prosterner à Ses pied ; après lui avoir demandé s’il était droitier ou gaucher, Elle lui a douloureusement écrasé sur le gravier les doigts de la main droite pour, lui a-t-Elle dit, l’empêcher quelque temps de se masturber, et Elle en a fait son esclave, relation SM qui dure toujours ;
pompes académiques, descente lente (cinq secondes minimum) et complète, arrêt en bas avec mouvement avant-arrière sur les pointes de pied provoquant une rotation étendue de l’épaule, puis remontée rapide (contraction explosive) : minimum de trois séries de 200 ;
pompes rapides : 500 en moins de dix minutes ;
pompes chargées (amazone assise sur le haut du dos) : trois séries de vingt ; même exercice avec deux Maîtresses assises l’une sur ses épaules, l’autre sur les reins qu’il conserve parfaitement rectilignes : dix de suite ;
pompes avec saut en fin de remontée et double claquement des mains avant de redescendre : trois séries de quinze de suite ;
pompes sur un bras avec flexion complète du coude en bas, l’épaule arrivant pratiquement au contact de la main : deux fois vingt et une fois dix sur chaque bras ;
pompes mains en pronation, le poids portant sur la jointure des premières phalanges, le poignet rectiligne : vingt-cinq de suite ;
dips aux barres parallèles, avec flexion totale du coude en bas : quatre ou cinq séries de 40, les jambes tendues jointes au niveau du visage pour la première série, à l’horizontale pour les deux suivantes ;
dips « chargés » (ceinture lestée à 50 kg ou amazone accrochée à la taille) : vingt puis dix puis cinq,
tractions-rétablissements aux anneaux : trois séries de dix, descente en passant par la position de la croix tenue trois secondes pour la dernière de chaque série ;
tractions-rétablissements à la barre fixe avec sac lesté à 50 kg ou amazone accrochée dans le dos : cinq complets suivis d’au moins cinq tractions complètes amenant les épaules largement plus hautes que le niveau de la barre (les tétons touchant la barre).
Cuisses : squats chargés au poids du corps (80kg), positions des pieds variées, descente lente et profonde menant les fesses sur les talons, remontée très rapide avec décollement du talon en haut : huit à dix séries de 50 ;
squats sur une jambe, l’autre tendue nettement au dessus de l’horizontale, bras écartés sans support : quatre séries de vingt alternées ;
squats avec deux partenaires assises l’une sur les épaules, l’autre sur le dos, jambes écartées, pieds à plat sur le sol, cuisses descendant plus bas que l’horizontale : dix puis deux fois cinq ;
squats rapides non chargés, pieds écartés sur cales : minimum de 500 en moins de huit minutes (rythme d’un par seconde);
montées d’escalier en courant, deux marches par deux marches, un sac à dos chargé à 30kg : cinq séries de quatre étages ;
montées d’escalier à cloche pied : quatre étages (vingt cinq marches chacun) en changeant de jambe à chaque étage;
à l’espalier, cuisses plus hautes que l’horizontale, les pieds chaussés de chaussures de montagne ou lestés, extension lentes des jambes à la hauteur du visage, minimum de 300 ;
extensions caressantes : debout contre un espalier, se retenant par les mains à la hauteur de la tête, bras fléchis à angle droit, il lève une cuisse à l’horizontale et une utilisatrice vient s’installer à califourchon dessus ; il entreprend alors des extensions de la jambe, contractant puissamment son quadriceps et en particulier le droit antérieur, ce qui rapidement provoque chez elle une excitation qu’elle amplifie en serrant de toutes ses ****** ses deux cuisses autour de la sienne, ce qui la mènera infailliblement à l’orgasme, d’autant plus rapidement que la vue de ses volumineux biceps, contractés par l’effort pour se maintenir debout, l’excite tout particulièrement ;
Mollets : élévations sur un bord de marche, d’amplitude totale tant en montée (cou de pied dans le prolongement de la jambe) qu’en descente (talon plus bas que la marche et poids du corps supporté par les orteils recroquevillés), avec rythme et orientation du pied variables : dix séries de 100 ;
élévations « lestées » (une amazone sur les épaules ou un sac à dos de 50kg), plusieurs séries de 30 ; avec une barre de 100 kg sur les épaules : dix élévations complètes de suite ;
élévations sur un seul pied : séries de 50, alternativement très rapides ou très lentes, pratiquement sans limite ;
élévations « masturbatoires » : dans une cabine de douche carrelée, avec un rebord autour du bac, montées et descentes lentes, ininterrompues, en veillant à faire frotter les tétons (et bien évidemment la verge) sur la paroi lubrifiée par le gel-douche ; les montées-descentes sont poursuivies jusqu’à éjaculation ce qui peut prendre de quelques dizaines de secondes à près de dix minutes selon le degré d’excitation et le délai depuis les orgasmes précédents ; il est fréquent que ce soit la douleur de crampe « forcée » dans les mollets qui déclenche le plaisir, notamment lorsque sa Maîtresse lui impose, après une première éjaculation, de poursuivre le mouvement sans interruption jusqu’à un nouvel orgasme.
Abdominaux : crunches classiques, mains au cou ; cinq séries de 200,
crunches avec pivotement, le coude touchant le genou opposé : plusieurs séries de 100 ;
à l’espalier, relevé des genoux jusqu’à la poitrine : plusieurs séries de 100 ;
à l’espalier, relevé des jambes jointes et parfaitement tendues jusqu’à ce que les pieds touchent le mur au dessus de la tête, maintien de la position deux secondes, descente lente : huit séries de 10 ; il est également capable, lorsque ses pieds touchent le mur au dessus de sa tête de dessiner à la suite sur le mur les chiffres de 0 à 9, sans décoller les pieds du mur ;
à l’espalier, accroché bras écartés, jambes jointes tendues à hauteur de la poitrine, pivotements latéraux jusqu’à toucher l’espalier avec les pieds d’un côté puis de l’autre, au niveau des mains : plusieurs séries de 50 ;
à l’espalier, cuisses à l’horizontale, supporte pendant plusieurs minutes une amazone (puissante, musclée et… lourde : 70kg) sur ses cuisses tout en tendant et fléchissant lentement les genoux (plus de cent extensions) ; s’est déjà fait masturber jusqu’à l’orgasme dans cette position et a maintenu une équerre parfaite jusqu’à la fin de son éjaculation, intervenue en moins de trois minutes et qui a comporté cinq giclées volumineuses et très puissantes ; à l’issue de celle-ci, il a tenu la position encore plus de deux minutes, en poursuivant ses lentes extensions de jambes ; malgré sa récente et spectaculaire éjaculation et malgré également le stress musculaire qui déchirait ses quatre membres ainsi que sa paroi abdominale, il était toujours en totale érection après ;
au sol, en appui sur les coudes, jambes tendues à l’équerre, lents et amples ciseaux latéraux : séries de 50, pratiquement sans limite ;
allongé au sol, des chaussures lestées à 10 kg chacune aux pieds, dessine successivement avec les pieds joints les lettres de l’alphabet : record de cinq alphabets successifs (majuscules puis minuscules à chaque fois) ;
allongé au sol, pédalages de grande amplitude avec chaussures lestées : plusieurs séries de dix minutes ;
allongé sur un banc, les bras tenant l’extrémité du banc derrière la tête, les jambes tendues à la verticale, est capable de soulever le bassin de plus de 30cm, 50 fois de suite, ou plus de cinq minutes sans discontinuer ;
suspendu à la barre fixe, « crunches inversés », bras fléchis à 45°, jambes jointes légèrement fléchies, amener les pieds à la barre : séries de 20, en nombre pratiquement illimité ; éjacule presque systématiquement au cours de ce mouvement par contraction des cuisses autour de la verge et congestion des muscles abdominaux inférieurs et pelviens ; est capable de jouir quatre fois de cette façon en moins d’une demi-heure ;
assis au sol, jambes tendues, s’élève sur les bras en conservant les jambes légèrement au dessus de l’horizontale (les dernières phalanges des doigts touchant seules le sol, les fesses à environ 20cm du sol pour les trois premières séries), puis en basculant le bassin vers l’avant, monte lentement les jambes toujours jointes et tendues à la position verticale, tenue cinq secondes, redescend ensuite lentement et recommence sans poser les jambes, plusieurs séries de 20.
Dorsaux-fessiers : allongé à plat ventre au sol, lever alternatif de chaque jambe, totalement tendue, le pied lesté à 10 kg, à un angle de plus de 60° : séries de 100 pour chaque jambe ;
à plat ventre sur le sol, lève simultanément le plus haut possible les fesses, cuisses et jambes tendues d’une part, le torse et les bras tendus d’autre part : est capable de plusieurs centaines de répétitions, et arrive ainsi fréquemment à la jouissance par l’effet conjoint des contractions de ses dorsaux et de la pression sur son sexe ;
à plat ventre sur un banc, les mains tenant fermement les pieds du banc, les jambes dans le vide, ciseaux horizontaux ou verticaux : séries de 200 ;
la poitrine sur le banc, les mains en tenant les pieds, lever de la zone lombaire et contraction maximale des dorsaux et des fessiers pour amener les cuisses (et les jambes) tendues et jointes à la verticale, position tenue dix secondes, descente lente : 5 fois ;
allongé sur le dos, une partenaire assise sur le ventre, est capable d’arquer son corps en ne s’appuyant que sur les talons et les épaules, et d’élever le bassin d’une trentaine de centimètres, puis de se dresser d’abord sur les coudes et enfin d’étendre lentement les bras vers l’arrière pour former un véritable pont, avec tenue de la position plusieurs minutes et au moins cinq répétitions au cours d’une session. Il arrive souvent que le simple poids de sa partenaire sur son sexe provoque une éjaculation. En cas de pénétration dans cette position, il est fréquent qu’il ne puisse se retenir plus d’une minute et demie, ce qui provoque bien évidement l’ire de sa partenaire, malgré les giclées nombreuses, volumineuses et puissantes qui déclenchent la plupart du temps immédiatement une jouissance intense chez elle et la persistance d’une érection absolue après cette éjaculation pour permettre encore de parfaire cet orgasme.
crushee
12-28-2010, 04:00 PM
(...)
Description sexe :
Verge : au repos, sa verge n’est jamais molle, mais toujours agréablement ferme ; elle ne pend jamais verticalement, mais environ à 45 degrés vers l’avant, bien dans l’axe du corps ; elle atteint près de 10 cm de long, pour environ trois à quatre centimètres de diamètre ; la peau fine, glabre, brune, marquée de fortes veines bleu très foncé ; le gland rouge sombre, circoncis, de la taille d’une noix, porte sur le côté gauche une petite marque bleu foncé, presque noire, indélébile, vestige ancien d’un piétinement au talon aiguille ;
Testicules :
Volumineux, lourds, toujours extrêmement durs, bien séparés, pendant très bas au repos ; le gauche, un peu plus gros (de la taille d’une prune alors que l’autre est de la taille d’une noix), descend nettement plus bas que le droit.
Les épididymes, renflés, fermes et très sensibles à la pression d’un ongle sont deux zones de prédilection de ses tortionnaires ; ses maitresses aimant bloquer un testicule entre l’ongle du pouce d’une part, l’index et le majeur d’autre part, puis labourer ainsi la surface du testicule avec le pouce, en cherchant les zones les plus sensibles et y en enfonçant alors l’ongle avec une pression inouïe, souvent jusqu’à ce qu’il perde connaissance…
Les cordons spermatiques sont épais et durs, mais là encore particulièrement douloureux au pincement, avec en plus l’aspect psychologique de cette torture et la crainte de la **********.
Erection : parfaitement rectiligne et axée, 19 cm de long (7 ½ in), 5 cm de large et 4 d’épaisseur (soit près de 15 cm ou 6 in. de circonférence !) ; les testicules remontent se plaquer contre la racine de la verge dès le début de l’excitation, et les muscles crémaster ont une force telle qu’il est alors quasiment impossible de les en décoller; les veines qui marbrent la peau de la tige se gonflent prodigieusement et le gland atteint le volume d’un abricot ; à l’excitation maximale, lorsqu’il est debout, sa verge est pratiquement plaquée contre la paroi abdominale qui est parfaitement plate, dans l’axe de la « ligne blanche » qui sépare les muscles des deux côtés, le gland à la hauteur du nombril.
Sur la face inférieure, les corps caverneux enveloppent le corps spongieux, extrêmement ferme lors de l’érection ; l’urètre apparait bombé, et ses maitresses adorent planter leurs ongles dans sa longueur en serrant fortement la verge. Lors des éjaculations, la sensation de puissance ressentie en pressant légèrement sur le conduit est phénoménale compte-tenu de l’extrême violence et de l’abondance de ses jets…
to be continued...
crushee
12-29-2010, 06:05 AM
(...)
Puissance :
Réactivité :
Erection totale et immédiate à la moindre stimulation, fût-elle un simple regard ou une parole, éventuellement seulement téléphonique ; dès l’érection obtenue, des gouttes de liquide lubrifiant perlent abondamment au méat, devenant rapidement un filet continu.
Présente chaque matin une érection spontanée d’une dureté parfaite, quelle que soit l’activité sexuelle déployée la nuit précédente. Cette érection persiste totalement à l’issue de la première salve d’éjaculations, que celle-ci soit obtenue par masturbation ou par un rapport normal. Une seconde éjaculation est indispensable pour apaiser cette tension ; elle peut intervenir très rapidement après la première. Après cette seconde rafale, et sous réserve de l’absence totale de stimulation, l’érection peut généralement disparaître en une dizaine de minutes ; par contre, si une quelconque cause d’excitation subsiste, fût-ce une simple pensée érotique, il reste totalement dur et est capable de repartir sans délai vers un troisième orgasme d’affilée...
Dureté :
De bois dès le début de l’érection, dureté qui persiste intégralement au moins dix minutes après chaque éjaculation. Est capable, même lorsqu’il est totalement dur, de contractions rythmiques et répétées du muscle PC, parfaitement sensibles par une utilisatrice et ce pratiquement sans limite, ses contractions restant toujours aussi puissantes malgré leur répétition incessante ; parvient ainsi couramment à faire jouir une partenaire tout en restant parfaitement immobile en elle, à l’exception des gonflements et des durcissements provoqués par ces contractions…
Ejaculat :
Record de neuf giclées identifiables lors d’une éjaculation ; a une fois ressenti quinze spasmes spontanés lors d’un orgasme, sur une durée de plus d’une minute (son utilisatrice a alors quasiment perdu conscience tant l’orgasme induit chez elle était prolongé) ; y adjoint systématiquement ensuite jusqu’à une dizaine de contractions volontaires du muscle PC, chacune durant d’une à cinq secondes, la dernière maintenue jusqu’à trente secondes sans le moindre affaiblissement ;
Volume moyen émis en une éjaculation nettement supérieur à une cuillère à soupe et plutôt de l’ordre d’une demi-tasse à café, en cinq ou six jets, chacun d’eux sous la forme d’une «corde» continue de plus de vingt centimètres ; après une abstinence de vingt-quatre heures, sa première éjaculation atteint le volume d’une tasse entière ; après une abstinence de quelques jours (moins d’une semaine !), cette quantité de sperme peut atteindre une tasse entière non pas seulement à la première, mais également à la seconde éjaculation compte-tenu de l’intensité de sa production de liquide séminal et des capacités de stockage de sa prostate et de ses vésicules séminales (il convient de rappeler que le volume d’une tasse à café «express» est de l’ordre de 40ml, ce qui caractérise bien les performances hors du commun du sujet);
Debout, les trois premiers jets atteignent largement la hauteur du visage (Il lui est d’ailleurs souvent arrivé de pouvoir recevoir dans la bouche ses deux premières giclées sur l’ordre d’une maîtresse qui lui donne par la suite plusieurs violents coups de botte dans les testicules lorsqu’il ne réussit pas à gober la troisième giclée);
(to be continued)
crushee
12-30-2010, 03:24 PM
(...)
Endurance :
Durée de rétention :
Sauf recherche particulière d’un record de rapidité ou de nombre d’éjaculations, il est capable de maintenir une érection absolue pendant au moins deux heures de travail intensif combinant préludes et pénétrations ;
Il peut retenir son éjaculation pendant plus d’une heure de pénétration continue, même avec une activité ininterrompue et très vive ;
Sa forme physique lui permet plusieurs heures de travail intense sans discontinuer ; il est en particulier capable de contracter sans interruption son muscle PC pendant plus d’une minute sans que la contraction ne faiblisse, et ce jusqu’à dix voire quinze fois au cours d’une session ; il peut aussi contracter et relâcher rapidement son PC jusqu’à cent fois de suite, à un rythme soutenu, la puissance de la contraction et donc l’impulsion communiquée à sa verge restant maximale malgré les répétitions ;
Il est même capable, en pleine érection, à deux doigts d’éjaculer, alors que la giclée préliminaire lubrificatrice de liquide vésiculaire vient de partir, de bloquer ses spasmes éjaculatoires par une contraction phénoménale de ses muscles pubiens, contraction qu’il saura maintenir à son intensité maximale plusieurs minutes, sans le moindre relâchement (qui serait fatal !), jusqu’à atténuation suffisante de l’excitation. Sa verge reste totalement raide pendant cet exercice et il est en mesure de poursuivre une activité coïtale soutenue. Avant la première éjaculation d’une session, il est capable de bloquer ainsi deux tentatives d’éjaculation après l’émission pré-éjaculatoire, la première fois tout en poursuivant ses mouvements dans le vagin de son utilisatrice, la seconde fois en restant immobile (mais en «subissant» néanmoins les contractions vaginales puissantes de celle-ci, contractions dont Elle augmente bien entendu le rythme et la force afin de tenter de le faire éjaculer malgré lui!) ; il arrive même à repousser dans les mêmes conditions une troisième tentative d’éjaculation à condition de sortir…
Persistance de l’érection :
Ne débande absolument pas après la première éjaculation et, grâce à un entrainement intensif, surmonte sans aucune difficulté la période dite réfractaire (l’entrainement comportait systématiquement un écrasement des testicules jusqu’à évanouissement en cas de perte de l’érection lors de la poursuite du rapport après éjaculation) ; il peut ainsi prolonger son travail et parfaire la satisfaction de sa partenaire tout en s’avançant lui-même vers une seconde jouissance ; il ne ressort en général même pas du vagin de sa partenaire à ce moment, sauf exigence éventuelle de sa part de changer de préservatif si le rapport est protégé ; il faut préciser que lors de la sélection, tout candidat à l’écurie qui ne restait pas totalement bandé et capable de poursuivre le rapport sans interruption après la première éjaculation d’une session faisait l’objet d’une sanction immédiate : écrasement d’un testicule jusqu’à évanouissement, puis sans délai masturbation forcée jusqu’à nouvelle éjaculation, poursuite de la masturbation au moins cinq minutes , et écrasement de l’autre testicule à nouveau jusqu’à évanouissement ; ce traitement étant en principe infligée par la Maitresse victime de l’affront. Il faisait en outre l’objet d’une mise sous surveillance : si la même faiblesse au début d’une des quatre sessions journalières se reproduisait, ne fût-ce qu’une fois, au cours de la semaine suivante, il était alors partiellement castré, compression d’un testicule jusqu’à éclatement, la Maîtresse victime de l’affront ayant le droit de se faire assister dans le cas (rarissime) où Elle n’aurait pas la force suffisante pour presser un testicule jusqu’à ce qu’il éclate effectivement. Elle peut alors soit se faire assister par une autre Maîtresse, auquel cas Elles pressent ensemble la glande condamnée, soit confier la tâche à un autre soumis et le sanctionner lui également s’il n’éjacule pas spontanément lors de l’écrasement.
Il en est strictement de même après la deuxième éjaculation, performance déjà bien plus rare que la précédente ; ses nouvelles utilisatrices sont à chaque fois surprises (et ravies !) de sentir sa verge rester en érection absolue après deux éjaculations malgré la violence et le volume de celles-ci, qu’elles en aient ressenti la puissance des giclées au tréfonds de leur corps ou que l’éjaculat remplisse le préservatif au point de couler le long de la verge toujours parfaitement tendue et de se répandre abondamment à la base de la protection …
Après la troisième éjaculation, il arrive parfois, au bout d’une dizaine de minutes, qu’il débande quelque peu, mais cette faiblesse, souvent indécelable par sa partenaire, ne dure que quelques secondes : il rebande, totalement et durablement, quasi-instantanément ;
Débande -au bout d’au moins cinq à dix minutes- après la quatrième éjaculation, mais d’une part, sa verge est toujours « ferme » c'est-à-dire encore capable d’œuvrer dans un vagin accueillant et lubrifié (nombre de ses utilisatrices qualifient plutôt de «belle érection» l’état de son membre à ce moment là !) et d’autre part, il suffit de quelques dizaines de secondes de stimulation sérieuse des tétons, des testicules ou de l’anus, ou bien de contractions rythmées de leurs muscles vaginaux autour de son membre pour lui redonner une dureté de bois ;
Après chaque éjaculation suivante, sa verge demeure suffisamment raide pour lui permettre de poursuivre pendant plusieurs minutes des va-et-vient profonds et énergiques, autorisant une jouissance totale à sa partenaire si elle était d’aventure « en retard », et en tout état de cause, une prolongation notable de la durée de son orgasme. Néanmoins, après débandaison, l’espace entre les érections va croissant, selon la règle des puissances de quatre : après la quatrième éjaculation : quatre minutes avant de rebander, après la cinquième : un quart d’heure (quatre fois quatre égalent seize minutes en théorie !), après la sixième : une heure (quatre fois seize font soixante quatre minutes exactement)… Une maîtresse lui avait d’ailleurs fait remarquer qu’un autre de ses soumis fonctionnait « en mode deux » : le temps pour une nouvelle érection doublait seulement à chaque éjaculation ; elle avait complété l’humiliation en ajoutant que cet autre soumis, qui était bi-, le connaissait, n’ignorait pas ses (relatives) insuffisances et qu’un jour il viendrait vider en lui ces érections supplémentaires…
Cependant, si, même quasiment débandé, il reste engagé dans le vagin musculeux de sa Maitresse, celle-ci a toujours réussi à le faire rebander rapidement par des contractions puissantes et répétées de ses muscles vaginaux…
Répétition d’éjaculations : Dès l’érection obtenue, il est capable d’éjaculer en moins de deux minutes, par pénétration ou masturbation ; son « record » dans ce domaine est d’à peine une minute après pénétration, sa Maîtresse ayant provoqué cette explosion digne d’un lapin en lui travaillant puissamment la verge avec ses muscles vaginaux tout en lui malaxant sévèrement les testicules (malaxage qu’elle a, après l’éjaculation, immédiatement intensifié et poursuivi jusqu’à ce qu’il perde connaissance, à des fins éducatives !), dans un tel cas, il redouble l’éjaculation dans les trois minutes, la triple dans les dix minutes et est parfois capable d’une quatrième giclée dans le quart d’heure, le tout sans pratiquement avoir débandé.
En situation « normale », ses performances sont de trois (voire quatre) éjaculations au cours de la première heure de travail (il s’agit de pénétrations sexuelles classiques successives ; lors des séances obligatoires de masturbation, il atteint couramment quatre et souvent cinq éjaculations en moins d’une heure, voire une fois six !);
neuf en une nuit complète (de vingt et une heures à neuf heures le lendemain), il s’agit là encore du nombre de « rapports » complets ;
quinze en vingt-quatre heures (même remarque), il parvient couramment à vingt-quatre éjaculations sur masturbation dans ce même délai ;
vingt-cinq en un week-end (du vendredi dix-sept heures au lundi dix heures).
La Ferme le fait actuellement travailler sur le record de cent éjaculations en une semaine ! Il y est déjà parvenu en combinant rapports sexuels normaux et masturbation ; il vise actuellement les cent rapports en une semaine. Les tentatives ont lieu la première semaine de chaque mois, les utilisatrices-candidates, amazones, doivent impérativement accomplir des performances sportives de fond (natation 1 000 m en mer ou cross de 5 km avec sac à dos) de niveau national, posséder des muscles périnéaux puissants (test au dynamomètre, portant sur la force et sur la durée de contraction continue, éliminatoire), une musculature des membres supérieurs développée est un plus significatif lors de la sélection. (Bonifications pour tractions complètes sur un seul bras et/ou éclatement d’une noix dans la main).
Rythme courant :
Hors de toute recherche de record, une journée « standard » comprend une dizaine d’éjaculations réparties comme suit :
- deux rapidement enchaînées (« sans débander ») le matin au réveil (deux salves sont en pratique le minimum nécessaire pour évacuer la « tension matinale spontanée » qui se manifeste quasiment tous les matins, quelle que soit l’activité déployée la nuit précédente);
- une ou souvent deux enchainées après le déjeuner ;
- deux, voire trois lors du « cinq à sept », généralement enchainées sans pause ;
- quatre à cinq au cours de la soirée et de la nuit, les deux ou plus généralement les trois premières sans pause.
to be continued...
crushee
12-31-2010, 03:03 AM
Une session particulière :
La phase d’instruction initiale terminée, l’amazone va pratiquer une session complète avec son nouvel esclave. C’est une femme musclée, à la beauté sculpturale, qui a toujours produit sur ses soumis une excitation inouïe.
Lentement Elle s’approcha de lui, majestueuse, Son corps partiellement dévoilé respirant tout à la fois la féminité et la puissance. Nu, au garde-à-vous devant Elle, il bandait déjà, et comme toujours jusque là, parfaitement : son membre aux dimensions plus qu’honorables était totalement érigé, bien rectiligne et axé, pratiquement collé à son ventre plat et musclé, le gland, avantageux, à la hauteur du nombril. Il fixait, sans pouvoir en détacher les yeux, Sa superbe poitrine partiellement découverte. Elle tendit la main droite qu’Elle posa sur son torse, la faisant glisser légèrement jusqu’à ce que son téton gauche soit sous Ses doigts.
L’effet sur son érection fut immédiat et impressionnant : sa verge parut durcir encore et le gland gonfler davantage, si cela était possible, et son membre commença à tressaillir ; des gouttes de liquide pré-éjaculatoire perlèrent abondamment au méat, formant rapidement un écoulement ininterrompu. Satisfaite de cette première réaction, Elle plaça la main gauche sur l’autre téton et entreprit de caresser les deux simultanément, faisant rouler lentement et, pour le moment délicatement, leurs pointes incroyablement dures sous Ses doigts. En moins d’une demi-minute, Elle vit sa verge, avec laquelle Elle n’avait pourtant aucun contact, tressaillir de plus en plus fortement, puis lâcher (h1) violemment plusieurs giclées de sperme épaisses et très abondantes, cinq ou six véritables «cordes» qui atterrirent sur Ses seins et dans le sillon les séparant.
Instinctivement, sous cette douche, Elle avait contracté tous Ses muscles, notamment ceux des cuisses et du bas-ventre, ce qui déclencha immédiatement en Elle un puissant orgasme (f1), mais aussi ceux des épaules, des bras et des avant-bras, pinçant de toutes Ses ****** les tétons de Sa victime, ce qui sembla faire augmenter encore la puissance et la longueur des giclées, formant pratiquement des jets continus de son membre à Sa poitrine, bien qu’Elle fut certaine que cette éjaculation dans le vide, sans aucun contact avec son membre, n’avait pas du provoquer de satisfaction réelle chez Son partenaire.
to be continued...
crushee
01-04-2011, 10:30 AM
(...)
Quelques instants plus tard, partiellement remise de Son orgasme, Elle lui demanda qui l’avait autorisé à gicler ainsi, sur Elle, puis Elle saisit un de ses testicules, et l’écrasa de toutes Ses ****** à pleine main. Il hurla ; Elle lui rappela qu’il ne devait en aucun cas jouir en Sa présence sauf si Elle lui en donnait l’ordre exprès. En même temps, Elle accrut encore la terrible pression qu’Elle exerçait sur la volumineuse glande, les muscles de Son avant-bras et même ceux de Son bras et de Son épaule gonflés et tendus par l’effort. Il perdit connaissance rapidement sous la douleur intenable qu’Elle lui infligeait, alors que son éjaculation toute récente avait quelque peu affaibli sa résistance. Le voir ainsi perdre conscience déclencha immédiatement en Elle un second orgasme (f2), pendant lequel Elle continua à écraser le testicule qu’Elle avait saisi ; malgré la pression colossale qu’Elle exerçait sur la glande, celle-ci, d’une dureté extrême, ne se déformait pratiquement pas ; Elle en concevait à la fois de la fierté pour la robustesse de Son soumis mais aussi un peu de regret, Se remémorant avec délices un précédent soumis dont Elle parvenait à réduire à mains nues, l’épaisseur des couilles à nettement moins d’un centimètre et qu’Elle avait ainsi, par la destruction irréversible des tissus internes de ses glandes, les fameux tubes séminifères qu’Elle avait disloqués et écrasés, progressivement rendu d’abord stérile, puis totalement impuissant… Cette « ********** lente » avait pris trois mois à raison d’une session d’écrasements d’une demi-heure par jour sur chaque glande au début, de deux séances quotidiennes d’une heure (toujours sur chacune des glandes) au cours du dernier mois. Lui souriant cruellement, Elle expliquait cliniquement les terribles déchirements et éclatements que provoquaient les pressions puissantes et imparables de Ses doigts, lui faisant admirer et le forçant à caresser les terribles contractions des muscles de Ses avant-bras et de Ses bras ; Elle insistait, plongeant un regard glacial au fond de ses yeux terrorisés, sur le caractère irréparable des lésions provoquées par de tels écrasements. Au bout d’une semaine, les couilles de Sa victime mettaient plus de deux heures à retrouver leur forme après chaque séance ; au bout de quinze jours, il leur fallait une nuit complète pour qu’elles redeviennent à peu près rondes ; au bout d’un mois, elles restaient aplaties, et de plus en plus, d’une séance à celle du lendemain, malgré l’œdème. Se rappeler les sanglots désespérés de Son soumis d’alors lorsqu’au bout de deux mois d’un tel traitement, Elle lui fit lire le résultat du spermogramme concluant à une absence totale de spermatozoïdes, consécutive à la destruction définitive des canaux internes des deux glandes, la fit jouir (f3) à nouveau très vite, pendant qu’Elle renforçait encore sa terrible pression sur le testicule prisonnier de ses doigts puissants.
Il resta inconscient une demi-minute environ, sans que son érection, demeurée entière malgré son éjaculation, ne s’affaiblisse le moins du monde. Il ne débandait jamais après sa première éjaculation, et, qualité plus rare qu’Elle appréciait hautement, il restait pratiquement toujours totalement dur également après la seconde. Dès son réveil, Elle s’allongea et lui commanda de venir se masturber, puisque tel était son souhait, mais entre Ses seins qui étaient toujours recouverts du sperme abondant de sa première «jouissance». Il s’exécuta et entreprit des va-et vient réguliers entre Ses seins pendant qu’Elle-même les serrait fortement, en caressant les aréoles et les tétons déjà excités et très durs. Elle eut rapidement un nouvel orgasme, le quatrième, (f4) qu’Elle prolongea jusqu’à ce qu’Elle vit que Son partenaire allait bientôt jouir pour une deuxième fois. Elle le repoussa alors, se contentant de lui malaxer les bourses à pleine main, sans douceur, ce qui mélangea plaisir et douleur, surtout compte-tenu du stress subi précédemment par l’une de ses glandes, mais ne diminua nullement son excitation et la proximité de son éjaculation. Il tenta de réprimer celle-ci en contractant de manière continue son muscle pubo-coccygien, et y réussit pendant plusieurs longues minutes, au prix d’efforts surhumains, ne laissant échapper de sa verge que des écoulements lents mais abondants, de plus en plus épais, où le sperme remplaçait peu à peu le liquide pré-éjaculatoire. Elle passa alors, un très court instant, un ongle sur le frein de son gland, il ne put se retenir plus longtemps et explosa à nouveau, soudainement, expulsant (h2), toujours dans le vide, des giclées nombreuses, puissantes et encore très abondantes qui retombèrent une nouvelle fois sur Sa poitrine.
to be continued...
crushee
01-06-2011, 03:00 AM
(...)
Quelques minutes après cette seconde éjaculation, Elle s’aperçut que son membre donnait quelques signes (infimes) de faiblesse (résultat probable des efforts extrêmes, bien que finalement vains qu’il avait déployés longuement pour se retenir : rappelons qu’il était en effet capable de tenir totalement contracté son muscle PC pendant une durée de près de cinq minutes, sans la moindre diminution de l’intensité de la contraction…). Sa verge n’était plus quasiment verticale et plaquée contre son ventre, mais, tout en restant très largement au dessus de l’horizontale et toujours parfaitement rectiligne, elle s’inclinait maintenant à environ 45 degrés. Elle lui commanda de venir nettoyer Sa poitrine, en léchant et en avalant les masses énormes de sperme que ses deux précédentes éjaculations, phénoménales, y avaient projetées. Le contact de sa langue s’approchant de Ses seins déclencha immédiatement un nouvel orgasme (f5), le cinquième, à l’issue duquel Elle passa la main sur son membre qui avait presque instantanément repris sa dureté initiale puis saisit ses boules en lui précisant qu’Elle lui interdisait formellement de lécher Ses tétons. Hélas pour lui, le frottement de son membre sur les cuisses de sa Maitresse, le malaxage lent mais approfondi qu’Elle faisait à nouveau subir à ses testicules et le parfum de Ses seins tout proches de sa bouche firent qu’il ne put se contenir : il aspira goulument l’un de ses tétons et au même moment éjacula (h3) une troisième fois, presque aussi abondamment que les deux fois précédentes, sur le haut de Ses cuisses, les puissantes giclées atteignant Son intimité. Cette éjaculation provoqua chez elle un sixième orgasme (f6) qu’elle réussit à prolonger plusieurs longues minutes, le temps qu’en écrasant sévèrement ses deux boules l’une contre l’autre, Elle lui fasse à nouveau perdre connaissance.
to be continued...
crushee
01-07-2011, 03:37 AM
(...)
Lorsqu’il reprit conscience, plusieurs minutes plus tard, il avait « débandé », tout au moins selon les critères particulièrement sévères qui lui étaient appliqués : quoique toujours très ferme et quasiment rectiligne, sa verge ne dépassait plus nettement l’horizontale ; elle aurait certes, en l’état, pu pénétrer sans difficulté aucune et satisfaire à nouveau le vagin lubrifié et dilaté d’une femme ayant déjà joui à plusieurs reprises, mais elle ne répondait plus aux critères de dureté et de rectitude absolue, ni de positionnement nettement supérieur à l’horizontale, qui étaient de règle à la Ferme. Elle entreprit donc de lui redonner le complément de vigueur nécessaire : saisissant chacun de ses testicules à trois doigts, Elle les pressa l’un contre l’autre, fortement, puis entreprit de les déplacer lentement, toujours pressés l’un contre l’autre, faisant varier le point de contact, comme si Elle voulait moudre quelque chose entre ses deux boules. Dès qu’à ses réactions Elle s’apercevait qu’un point était particulièrement douloureux, Elle y séjournait, en décrivant de tous petits cercles autour et en augmentant significativement la pression qu’elle exerçait. Ce traitement lui arracha rapidement des hurlements de bête égorgée, mais en même temps, en moins d’une minute, son membre était redevenu aussi dur qu’en début de session. Elle mît donc fin à la sanction, s’allongea, écarta les cuisses, et lui ordonna de venir La pénétrer. Il s’exécuta, présenta son gland sur sa vulve luisante tant de son sperme que de Ses sécrétions féminines et s’engagea très doucement, respectueusement dans Son vagin ; alors que seul le gland avait pénétré, Elle contracta de toutes Ses ****** Ses muscles intimes, entrainés et robustes comme l’ensemble de Sa musculature ; sous la puissance de cette pression, son gland fut pincé et bloqué, ne pouvant ni entrer davantage dans Son vagin, ni même en ressortir. Frustré de ne pouvoir La pénétrer jusqu’à la garde et sentir la puissance des contractions de Son vagin autour de tout son membre et particulièrement de la racine, il commença à perdre un peu de sa dureté, elle lui rappela aussitôt que ses testicules souffriraient encore s’il osait débander alors qu’il était en Elle. Puis Elle entreprit, contractant plus fort Ses muscles vaginaux avant de les relâcher très légèrement et de recommencer, de lui pratiquer une sorte de massage du gland ; elle adorait sentir cette masse spongieuse et pourtant relativement ferme se déformer et s’aplatir sous les contractions répétées et puissantes de Son vagin. Cette sensation déclencha bientôt un septième orgasme (f7) pendant lequel, comme à l’accoutumée, Ses contractions redoublèrent d’intensité, écrasant le gland spongieux au point d’en chasser tout le sang, ce qui ne manqua pas de déclencher une quatrième éjaculation (h4) chez notre homme, bien que la douleur de l’écrasement de son gland lui ôtât quasiment tout plaisir et que la pression empêchât tout écoulement.
to be contined...
crushee
01-07-2011, 06:20 PM
(...)
Avoir vu venir l’orgasme de Son homme et avoir senti combien Ses propres contractions bloquaient ses tentatives d’éjaculation prolongea longuement Son propre orgasme. Lorsqu’Elle fut rassasiée, sans relâcher Ses muscles vaginaux, Elle repoussa brutalement Son amant, tirant sur sa verge presque à la limite de sa résistance, avant que le gland ne s’arrache littéralement de Son vagin ; ce n’est qu’une fois hors d’Elle qu’il laissa couler misérablement d’une bite qui cette fois-ci ramollissait franchement, la semence toujours abondante dont Elle avait bloqué les giclées en lui. Son gland, aplati et incolore reprenait lentement du volume et de la couleur… mais sa verge semblait démobilisée!! Elle lui rappela qu’il ne L’avait pas encore pénétrée réellement alors qu’Elle s’était offerte à lui, et Elle ajouta que s’il n’était pas capable de La pénétrer lorsqu‘Elle l’exigeait, il n’était pas digne de rester à Son service. Elle continua en lui rappelant qu’aucun des amants qui l’avaient précédé n’avait pu poursuivre une quelconque vie sexuelle après qu’Elle les ait congédiés. Une de Ses amies, dominatrice comme Elle, « marquait » les amants qu’elle congédiait en leur brisant un os : un doigt, une côte, la mâchoire dans un ciseau de jambes infernal, parfois carrément une jambe ou un bras ; elle aimait particulièrement briser un doigt des masturbateurs effrénés, après avoir observé s’ils étaient droitiers ou gauchers… Une autre luxait, souvent irrémédiablement, une articulation : ce pouvait être un doigt retourné, un poignet disloqué, tordu au-delà de ses limites avec les ligaments en général durement arrachés (souvent le droit, là encore pour gêner les masturbations ultérieures), un coude où un genou ou même parfois une hanche ou une épaule déboitée. Elle-même, pour Sa part, ruinait définitivement la vie sexuelle des hommes dont Elle se séparait : ce pouvait être en les castrant par écrasement des testicules, par atrophie de ceux-ci suite à serrage prolongé des cordons, par destruction desdits cordons par morsure, par éclatement des corps caverneux suite à piétinement violent du pénis gorgé de sang, par rupture de ceux-ci suite à un pliage de bite bandée en son milieu, le gland brutalement rabattu sur les couilles, par arrachage des ligaments pubo-caverneux en tournant fortement de plus d’un tour complet la tige comme un tournevis… Lorsqu’Elle brisait ainsi la verge d’un soumis en la rabattant brutalement en son milieu, Elle prenait plaisir, ensuite, à enfermer la verge ainsi repliée dans Sa main et à la malaxer violemment en serrant de toutes ses ****** la zone fracturée, augmentant ainsi les destructions irrémédiables des corps caverneux…
Elle se remémora deux castrations très athlétiques qui Lui avaient procuré beaucoup de plaisir, l’une en S’accroupissant au dessus de la verge bandée de son soumis, longue et très dure en laissant le gland pénétrer Son vagin, puis en le bloquant de toute la force de Ses muscles intimes et en Se laissant ensuite littéralement tomber de tout Son poids sur la verge bandée, toujours hors de Son corps, la pliant en son milieu et en fracturant irréversiblement les deux corps caverneux ; l’autre dans une position voisine, mais au contraire, totalement pénétrée, Elle bloqua Ses muscles intimes autour de ce sexe dont Elle parvenait à enserrer la racine, puis tout en maintenant la compression, Elle se releva lentement, de toute la puissance de Ses cuisses, soulevant carrément le bassin de sa victime jusqu’à ce qu’il fut pratiquement suspendu par sa verge qu’Elle serrait toujours de toute ses ******. Quelques oscillations de haut en bas, de petite amplitude mais très violentes, eurent raison de la résistance des ligaments de son soumis. Son corps s’éloigna de celui de sa Maîtresse, tombant d’une dizaine de centimètres ; Elle relâcha alors progressivement son étreinte vorace et destructrice, laissant ressortir de Son vagin une tige maintenant longue de plus de trente centimètres, mais définitivement molle… A nouveau, ces souvenirs de castrations réalisées à la seule force de son sexe déclenchèrent en Elle un profond orgasme (f8)...
Bref, des méthodes nombreuses et variées, mais toutes, et il le savait bien, redoutablement efficaces. Ces réflexions, accompagnées d’un malaxage puissant et continu de ses boules, le firent à nouveau bander en moins de quatre minutes. Son érection était, comme la première, d’une dureté absolue ; rebander en quatre minutes après quatre puissants orgasmes enchainés était une de ses performances remarquables dont Elle ne se lassait pas… pour le moment ! Elle lui ordonna à nouveau de La pénétrer, lui promettant, cette fois-ci, de ne pas le bloquer dès l’entrée, mais de bien travailler toute la longueur de son membre avec Ses muscles intimes ; il se rappelait avec délices une fois où, mécontente d’une éjaculation suivie d’une débandaison trop rapide, Elle l’avait bloqué en Elle et par des massages internes, lui avait rendu en un rien de temps toute sa rigidité, au point de le faire à nouveau éjaculer en quelques minutes.
... to be continued...
crushee
01-08-2011, 05:24 AM
(...)
Il La pénétra délicatement, Elle le bloquait très régulièrement, ne l’autorisant à progresser qu’avec une infinie lenteur. Il adorait la pression colossale que Ses muscles intimes exerçaient sur son membre, le bloquant complètement et donnant l’impression qu’il allait éclater. Elle ressentit un orgasme (f9) particulièrement long et dévastateur au cours duquel Elle écrasa encore davantage toute la longueur de son membre, bloquant tout mouvement et retardant d’autant son orgasme à lui. Elle décida ensuite, par des contractions rythmées autour de la racine de sa verge de le faire exploser (h5) une cinquième fois, provoquant au tréfonds d’elle-même des giclées toujours nombreuses, violentes et encore très abondantes, ce qui déclencha encore un orgasme (f10) insensé chez Elle, orgasme qu’Elle prolongea en massant puissamment pendant plusieurs minutes de Ses muscles intimes sa queue qui ne débandait qu’avec une extrême lenteur…
to be continued...
Alec Anaconda
01-08-2011, 01:42 PM
Librairie_en_Français (http://www.a1adultebooks.com/site.php?cat=ZFR&id=annoc&in=111)
crushee
01-09-2011, 03:31 AM
I'll seriously consider membership!
Continuing my free litterature:
(...)
Après avoir repris Ses esprits, Elle laissa s’échapper la queue maintenant nettement ramollie de Son partenaire, et Elle lui rappela qu’il disposait maintenant d’un quart d’heure pour rebander et être à nouveau capable de la pénétrer si Elle le lui ordonnait. Elle lui annonça qu’Elle allait pratiquer à cet effet un « massage vaginal » de ses testicules. Après l’orgasme, ses boules pendaient en effet à nouveau fort bas, et il lui était facile d’en placer une, voire les deux dans son vagin et de leur appliquer cruellement la pression terrible de ses muscles intimes. Sachant parfaitement la force dont Elle pouvait faire montre dans ces circonstances, Il tentât quelques dénégations, accompagnées même d’un début d’érection très honorable : sa verge atteignait de nouveau presque l’horizontale et était quasiment rectiligne (fichue performance si dit-Elle encore une fois !). Elle resta inflexible, lui proposant seulement de choisir la glande qu’Elle allait écraser … « la droite, la plus petite », répondit-il d’une voix blanche ; Elle le flatta en lui répondant qu’il ne s’agissait pas de « la plus petite, mais de la moins grosse », de la taille en effet d’une noix alors que la gauche était de la taille d’une prune. Elle saisit délicatement sa boule droite, toujours très dure et, lui semblait-il, un peu plus grosse que d’habitude, sans doute à couse de l’afflux de sang venu nourrir l’activité de reconstitution des réserves de sperme, quelque peu mises à mal par le début de la soirée ; Elle la fit entrer entre Ses lèvres, puis la poussa un peu à l’intérieur de façon à ce qu’elle soit bien dans la zone la plus musclée de Son vagin, et Elle commença à serrer rythmiquement ses muscles intimes.
Il ne hurla pas dès le début (Elle admirait toujours son stoïcisme et sa résistance à la douleur), et Elle accrut peu à peu la pression, se rappelant un ancien soumis, congédié pour impuissance, dont Elle avait ainsi écrasé jusqu’à le fracturer un testicule, puis l’autre, puis dont Elle avait repris les deux boules (ou ce qu’il en restait) pour les broyer ensemble dans Son vagin puissant. Sentir ces organes éclater en Elle avait déclenché l’un des plus violents orgasmes qu’Elle ait connu, et Elle s’était acharnée sur les deux glandes réunies pendant près d’une heure ; le chirurgien qui avait reçu sa victime n’avait pu que constater la destruction irréparable des deux gonades, et s’était borné à en ôter les restes pour éviter tout risque de gangrène et d’infection. Se remémorer cet épisode déclencha chez Elle un orgasme (f11) incontrôlable, long et particulièrement intense au cours duquel Elle écrasa plus fort que jamais auparavant la malheureuse glande de Son soumis, lui arrachant maintenant des hurlements tragiques. Malgré cela, constata-t-Elle, la glande semblait toujours aussi dure et ronde qu’avant son introduction en Elle. Dix minutes s’étaient passées depuis sa dernière éjaculation ; Elle continua à malaxer puissamment la glande souffre-douleur, puis, constatant que sa demi-érection ne progressait pas, Elle dit à Son soumis qu’Elle allait devoir lui « traiter » les deux boules simultanément. Il hurla de nouveau, La suppliant de ne pas le faire ; Elle n’avait jamais, jusqu’ici, eu recours à une telle torture pour le faire bander. Elle accepta, en décidant de seulement remplacer le testicule droit par le gauche, plus gros et donc logiquement plus sensible aux terribles écrasements qu’il allait subir. Tout en gardant ses muscles intimes contractés, Elle se dégagea brutalement, faisant ainsi sortir d’un coup le testicule droit, l’écrasant encore davantage au passage de ses muscles vaginaux antérieurs ; il poussa un nouveau hurlement, en même temps que son membre sursautait quelque peu. Elle saisit alors sans douceur le gros testicule gauche, le pinça pour en apprécier une fois de plus l’impressionnante dureté et l’engagea de force en Elle.
Elle eut à nouveau quasi-instantanément un puissant orgasme (f12) en sentant la glande écarter Ses chairs, malgré la pression que Ses parois intimes exerçaient déjà dessus. Serrant rythmiquement Ses muscles puissants, Elle attirait progressivement la boule au fond d’Elle-même, puis simultanément, sans desserrer le moins du monde sa prise, Elle tirait la peau du scrotum pour ramener la glande martyre vers l’entrée de Son vagin, là où la contraction était la plus dévastatrice. Quelques allers-retours de la glande dans Son vagin L’amenèrent à un autre orgasme (f13), bref mais très violent, pendant lequel Elle eut l’impression que sa glande avait cédé sous la terrible force appliquée, impression corroborée par l’évanouissement de Son soumis. Ce dernier reprit rapidement connaissance, sanglotant continument, mais enfin à nouveau avec une érection aussi majestueuse qu’en début de session.
to be continued...
crushee
01-10-2011, 01:28 AM
(...)
Elle se fit alors prendre en levrette, et Elle lui précisa qu’il avait une minute très exactement pour jouir. Il entreprit des va-et-vient puissants et rapides. Un nouvel orgasme (f14) La saisit au moment où Elle sentit qu’il allait jouir ; d’un vif mouvement de tout son corps vers l’arrière, Elle s’empala complètement dans un premier temps sur lui, écrasa à nouveau toute la longueur de sa verge en Elle, puis sans relâcher sa pression, Elle le repoussa violemment, lui arrachant quasiment la verge ; il ressortit et lâcha alors vers son dos des giclées (h6) à peine moins puissantes que la première fois. Une fois de plus, cet orgasme dans le vide ne lui avait pratiquement procuré aucun plaisir. Il débanda cette fois ci plus rapidement (ou plutôt moins lentement !) qu’après ses précédentes éjaculations : de subtiles caresses de sa Maîtresse sur la face supérieure de son gland devenu hypersensible lui provoquèrent même des soubresauts de gêne et firent ramollir sa tige en environ cinq minutes… Cela Lui confirma qu’au bout de six éjaculations, il ressentait (enfin !) une période réfractaire !!
Connaissant bien son esclave, Elle savait qu’il lui faudrait maintenant une heure avant sa prochaine éjaculation, même avec une stimulation intense et continue. Elle entreprit d’abord de vérifier l’état de ses boules, et notamment de la gauche qu’Elle avait cru sentir céder sous la pression terrible de Ses muscles vaginaux. D’aspect extérieur, son ample scrotum était toujours brun, sans qu’apparaisse de marque bleue qui aurait pu indiquer la fracture d’une glande. Les deux boules étaient bien évidemment toujours présentes, nettement séparées, pendant toujours très bas ; elles semblaient avoir grossi, enflé plus exactement, suite aux traitements vigoureux qu’elles avaient déjà subis, et qui allaient se poursuivre. La gauche, surtout, atteignait maintenant la taille d’un gros abricot, et, remarqua-t-Elle avec une joie sadique, n’était plus dure comme de la pierre comme auparavant : de l’œdème se formait ! Elle pouvait maintenant y enfoncer nettement un ongle, laissant une marque pale et creuse, qui ne se résorbait que lentement… Cette découverte de la vulnérabilité des couilles de son esclave l’amena assez vite à un quinzième orgasme (f15), qu’Elle fit durer plus de cinq minutes en plantant dans la malheureuse boule maintenue par l’index et le majeur, l’ongle du pouce de Sa main droite. Cinq longues minutes pendant lesquelles il resta conscient sans cesser de gémir d’abord, de pleurer en silence ensuite, sachant parfaitement qu’Elle avait commencé à détruire sa virilité, ce qui à terme signifiait la perte irrémédiable de celle-ci.
to be continued...
crushee
01-10-2011, 05:17 PM
(...)
Cependant, objectivement admiratrice (et consommatrice !) de sa résistance et de sa puissance hors normes, Elle lui expliqua qu’Elle l’épargnerait s’il était capable de présenter à nouveau une érection de la dureté des précédentes moins d’une heure après sa dernière éjaculation ; Elle ajouta, fière à la fois des performances de Son soumis et de Son talent à les améliorer sans cesse, que ce serait la septième… Elle lui annonça le plan de stimulation qu’Elle allait mettre en œuvre pour obtenir ce résultat : il lui restait trois quarts d’heure, le premier serait consacré à éliminer les toxines accumulées dans son appareil génital, par des massages appuyés stimulant la circulation ; Elle pratiquerait ces massages assise sur son visage, et ne passerait à l’étape suivante qu’après que sa langue lui ait procuré au moins deux nouveaux orgasmes ; le second quart d’heure serait consacré à la stimulation de ses zones érogènes secondaires, principalement de ses tétons, et à un « massage » de l’ensemble de son corps, essentiellement à base de manchettes qu’Elle savait appliquer avec une violence extrême, sans bien entendu, qu’aucune zone de son corps soit à l’abri des coups ; enfin, le dernier quart d’heure La verrait à nouveau S’assoir sur son visage, en réduisant notablement sa respiration, tout en travaillant son membre jusqu’à érection totale.
Le premier quart d’heure se passa conformément à Ses attentes : pendant que sa langue s’activait en elle et qu’Elle l’étouffait par son poids et par l’abondance de ses secrétions intimes, Elle malaxa avec une cruauté phénoménale l’ensemble de son appareil sexuel. Elle remarqua, avec un plaisir qu’Elle lui dissimulait bien entendu, que lorsqu’Elle pétrissait ses boules, sa verge regonflait significativement, de même lorsqu’Elle lui travaillait le gland ; Elle comprimait alors sa tige à pleines mains pour la vider complètement de son sang. Chaque début d’érection qu’Elle réussit ainsi à réduire à néant lui provoqua un nouvel orgasme. Elle jouit ainsi trois fois (f16, 17 & 18) durant ce premier quart d’heure, à l’issue duquel sa verge, certes, n’était pas bandée, mais au moins ferme et quelque peu réactive à ses tortures.
Le second quart d’heure commença debout, par une séance de kick-boxing d’environ cinq minutes au cours de laquelle il avait interdiction de bouger. Experte en arts martiaux et sachant parfaitement doser la force de ses coups, Elle n’épargna aucune partie de son corps, tout en veillant à ne provoquer aucune blessure irrémédiable ; ses coups à la tête et au cou furent même « doux », à l’exception d’un sauté-fouetté-retourné en plein menton qui le fit tomber en arrière inanimé quelques instants. Elle n’eut par contre aucune pitié pour le reste de son corps, que se soit les coups de pieds sur les membres, de genou sur le torse et le ventre et des enchainements de coups dans les parties : Elle se livra notamment à plusieurs séries de deux coups de pieds sautés enchainés, frappant avec une violence terrible sa verge qui, cependant, recommençait à gonfler significativement et ses testicules déjà bien enflés.
Cette frappe Lui rappela une session au cours de laquelle Elle avait fait se placer face à face, jambes écartées, deux soumis à chacun desquels Elle avait ordonné de frapper les testicules de l’autre, alternativement, selon la cadence d’un métronome placé sur un guéridon près d’eux ; toutes les cinq secondes, l’un d’eux devait donner un coup de pied, jambe tendue, le perdant étant celui qui refuserait le combat, qui s’évanouirait, où qui ne serait pas capable de frapper à l’expiration du délai ; les deux soumis étaient en totale érection au début du combat, et celui qui débandait le premier (verge ne dépassant plus nettement l’horizontale, comme toujours) «cédait» un tour à l’autre et devait donc subir trois coups de suite, sans espacement minimal ; l’un des soumis qui avait un torse et des bras magnifiquement musclés, une tige longue et épaisse et des boules très grosses et manifestement lourdes, mais des jambes peu musclées en regard de la partie supérieure de son corps, avait subi au début du combat des coups plus violents que ceux qu’il avait assénés à son adversaire ; Il débandait de ce fait plus nettement et leur Maitresse le lui signifia, autorisant son adversaire, homme aux cuisses particulièrement puissantes, à frapper trois coups de suite : il s’approcha, et en sautant lui décocha un doublé non totalement centré, mais visant bien le testicule droit, le plus haut placé, en l’écrasant deux fois de suite contre l’os pubien ; la victime y porta la main, mais la Maîtresse la lui fit retirer aussitôt d’un cinglement de cravache, en annonçant que suite à ce geste non autorisé, il perdrait encore un tour et recevrait donc un quatrième et un cinquième coup avant de frapper à son tour (s’il en était encore capable…) ; restaient donc trois coups : le premier, lancé en appui, fut pour le testicule gauche, jusque là épargné dans cette séquence, et les deux suivants, coups de genou lancés de l’appui également, d’une violence inouïe, furent à nouveau pour le testicule droit qu’ils éclatèrent contre l’os ; au dernier coup, le bourreau maintint près d’une minute son genou contre le pubis de son adversaire qu’il soulevait puissamment, le déplaçant de droite à gauche et de haut en bas pour achever de bien écraser la glande ou ce qu’il en restait . Se caressant discrètement pendant ce combat, Elle avait eu un orgasme fort en voyant la victime s’effondrer. Elle s’était approchée du vainqueur, avait longuement caressé sa cuisse terriblement musclée, puis son membre toujours dur et l’avait pris debout devant la victime qui reprenait lentement conscience. Le chirurgien dut procéder à l’ablation du testicule droit, totalement éclaté, et ne put sauver qu’une toute petite partie du testicule gauche, sans savoir s’il serait encore fonctionnel…
Elle se souvint aussi d’un précédent soumis dont la verge, longue et très dure, mais assez fine, ne dépassait qu’à peine l’horizontale à pleine érection. Lorsque le moment de l’éviction fut arrivé, Elle le fit placer debout, jambes écartées, face à Elle, les mains jointes à la nuque, ce qui lui permit d’admirer une dernière fois ses biceps qu’il avait particulièrement massifs (du volume de deux pamplemousses à pleine contraction…), Elle leva la jambe, pliée, et la détendit avec une vitesse fulgurante atteignant le gland avec une force prodigieuse, le pressant sous Sa plante de pied vers le ventre, le tout dans l’axe même de sa tige qui, sous le choc se rompit en plusieurs endroits…
to be continued...
crushee
01-11-2011, 08:34 AM
(...)
Revenue sur terre, après un orgasme interminable (f19) que ces seuls souvenirs avaient réussi à déclencher, et satisfaite de voir qu’il encaissait toujours silencieusement ces frappes inhumaines, Elle le fit s’allonger sur la table de massage et entreprit de « délasser » ses muscles par la technique des manchettes. Pendant cinq minutes, Elle le frappa de devant, n’épargnant que sa gorge, mais pas son visage dont Elle tuméfia les lèvres d’une série de manchettes d’amplitude restreinte mais très rapides et le nez dont Elle écrasa le cartilage d’une frappe ample, se régalant d’avance à l’idée des douleurs qu’Elle provoquerait plus tard en chevauchant ledit visage. Elle s’attarda sur les membres déjà atteints par les coups de pied précédents dont les traces bleuissaient. Elle frappa longuement ses pectoraux massifs, insistant par des coups inclinés sur ses tétons qu’Elle savait particulièrement sensibles…
Elle s’intéressa bien évidemment également à son sexe, dont le membre, en semi -érection, ballotait de droite et de gauche au fur et à mesure des coups qui faisait tressaillir son corps : Elle lui fit subir, pendant plus d’une minute, une série ininterrompue de gifles de droite et de gauche qui, sans le faire débander ni vraiment bander significativement davantage, le firent à nouveau crier de douleur. Elle se souvint aussi d’une terrible manchette qu’Elle avait appliquée à la racine de la verge d’un de Ses soumis, fracturant net ses deux corps caverneux et provoquant en outre des arrachements irréversibles des ligaments … Elle le retourna alors sur le ventre, lui fit écarter les jambes et poursuivit sa « thérapie de décontraction », alternant les manchettes sur les bras, les épaules, les jarrets ; Elle sauta sur la table et sautilla ensuite sur son dos, des épaules aux fesses, pour, disait-Elle, bien décontracter la colonne vertébrale. Elle termina par une vingtaine coups de poing assénés à toute force entre les jambes, écrasant ses boules contre la table.
Elle le retourna alors pour le troisième quart d’heure. Son sexe n’était plus flasque, mais dire qu’il bandait relevait encore de l’euphémisme ou de l’auto-persuasion… Comme annoncé, Elle « prit les choses en mains », en s’accroupissant sur son visage, tournée vers son sexe. Elle commença par frotter longuement son entre-jambes sur son nez et ses lèvres, se délectant des gémissements étouffés qu’il poussait en raison de la douleur que provoquaient ces caresses à son nez et ses lèvres tuméfiés.
Ces mouvements, succédant à l’excitation de la volée de coups qu’Elle lui avait assénée peu avant, l’amenèrent rapidement à un nouvel orgasme (f20) qu’Elle réussit à prolonger plusieurs minutes en intensifiant ses frottements sur son visage. Tout en continuant ses mouvements, Elle saisit son membre à deux mains, et entreprit des pressions rythmiques destinées à pomper le sang dans son organe déjà éveillé mais pas encore prêt à une pénétration. Elle lui caressait également le gland, sachant combien il était réactif à ces attentions. Tout en se faisant plus lourde sur son visage, serrant sa tige d’une main, faisant glisser son pouce sur le gland en lents va-et-vient, Elle entreprit de malaxer ses boules de l’autre main, les pressant rudement l’une contre l’autre.
Ce traitement de choc fit rapidement son effet : bien que presque étouffé, il développa rapidement à nouveau une érection digne des précédentes, parfaitement rigide. Elle en conçut à nouveau du plaisir et de l’admiration. Sous l’action insistante de son pouce sur le gland, il laissa bientôt échapper un abondant filet de liquide pré-éjaculatoire ; cette émission déclencha un orgasme (f21) de plus chez Elle.
Consciente que son érection (la septième depuis le début de la session) ne durerait peut-être pas aussi longtemps que les précédentes, Elle ne s’attarda pas dans son orgasme solitaire, et se déplaça pour s’empaler sur lui. Elle s’assit sur lui en lui tournant le dos, montant et descendant sur son membre d’un mouvement régulier comme celui d’une horloge, Ses quadriceps puissants soulevant et abaissant en douceur Son buste majestueux. Ses muscles intimes se contractaient et se relâchaient en rythme sur sa verge rigide et dure ; d’une main, Elle malaxait vigoureusement ses testicules, les faisant s’entrechoquer l’un contre l’autre avec brutalité ; de l’autre, Elle pinçait cruellement un téton, puis l’autre. Quand Elle sentait son excitation monter trop près de l’orgasme, Elle redoublait de puissance dans l’écrasement de ses boules ; quand il semblait perdre un peu de sa rigidité, Elle intensifiait le travail de ses tétons.
Deux fois (f22 &23), Elle jouit encore pleinement, sur son membre qui semblait ne plus réagir. A la fin du dernier orgasme, Elle le sentit prêt à «partir», et, généreuse mais aussi intéressée, Elle ne lui écrasa pas les testicules, le laissant exploser en Elle (h7). Ce septième orgasme, toujours puissant mais moins abondant réveilla Ses sensations et prolongea le Sien de manière fantastique. Pendant plus de cinq minutes, les parois musclées de son Vagin mâchèrent littéralement le membre qui se répandait en Elle, ne le laissant ressortir qu’une fois qu’il fût complètement vidé et dégonflé, bleui même par l’écrasement en règle qu’il venait de subir.
to be continued...
crushee
02-03-2011, 06:57 AM
Se posa alors la question de la suite… Elle n’était pas rassasiée, et il était évident que malgré ses performances du début de la session, il n’était plus en mesure de La satisfaire, et cela probablement pour plusieurs heures. Elle lui annonça que son impuissance (!) le conduirait sans aucun doute à être castré, et qu’alors le seul plaisir qui lui resterait serait d’être sodomisé ! Afin de le préparer à ce destin qu’Elle lui présenta comme inéluctable, Elle allait commencer à le « travailler » au gode-ceinture. Délicate attention pour commencer l’entrainement, Elle choisit un gode de dimensions simplement égales à son membre, le flattant en lui expliquant qu’il était déjà fort honorable… Elle se harnacha, lui fit sucer et lécher abondamment l’engin, ne résistant pas au plaisir de le lui enfoncer à pleine gorge, tout en se masturbant sur l’extrémité interne que possédait l’appareil et qui fouillait profondément Son vagin. Il étouffa rapidement ce qui provoqua chez Elle encore un orgasme bref mais violent24…
Elle le fit se mettre à quatre pattes sur une table basse, ce qui Lui permettait d’être à la bonne hauteur en restant debout derrière lui. Elle approcha l’engin de son fondement, et, après lui avoir rapidement dilaté le sphincter avec les doigts, Elle le pénétra puissamment. Elle le vit se raidir : il savait bien qu’Elle allait simultanément le défoncer avec le gode et lui écraser douloureusement les testicules à pleines mains. Et il savait que son supplice allait durer le temps qu’Elle enchaine plusieurs orgasmes…
crushee
02-03-2011, 03:12 PM
Les tests de la Ferme :
Chaque semaine, les Autorités de la Ferme (c’est ainsi qu’il faut nommer le collège de sept Amazones qui gèrent l’Institution, un journaliste qui avait osé les appeler « les fermières » l’a appris à ses dépens : il est reparti à moitié castré !) organisent une séance d’évaluation des soumis en cours d’éducation.
Il peut s’agir d’un concours d’érection : le plus simple a priori pour les étalons en bonne santé qui constituent le cheptel. Ceux-ci sont rassemblés un matin, sans préavis bien évidemment, au garde-à-vous, nus, et les Maitresses se présentent devant eux. La plupart d’entre eux présente une érection parfaite dès l’arrivée des Maîtresses ; les critères d’admission à la Ferme garantissant habituellement cette réaction. Seuls ceux qui se sont masturbés excessivement la nuit précédente, ou -beaucoup plus pernicieux- ceux dont une Maîtresse a « abusé » la nuit précédente peuvent présenter des faiblesses. Là encore, les sanctions en cas d’absence d’érection sont sévères : écrasement d’un testicule jusqu’à évanouissement, masturbation forcée jusqu’à et après éjaculation et à nouveau écrasement du même testicule jusqu’à évanouissement. Et bien sur, en cas de répétition de l’échec lors des tests suivants, élimination.
Il peut s’agir d’un concours d’éjaculat, avec « traite » des soumis par les Maîtresses du collège. Chacune, à tour de rôle, masturbe les sept soumis qui sont en évaluation. A chaque éjaculation, le sperme est recueilli dans un tube gradué. Celui qui produit le plus faible volume, tout comme, s’il y en a, celui ou ceux qui ne peut éjaculer sept fois de suite, ce qui est rare, encore une fois, vu le processus de sélection, est « mis sous surveillance ».
Plus difficile que la mesure d’éjaculat, le concours de « copulations successives » implique que chacun des sept soumis évalués soit capable de pénétrer successivement chacune des sept Maîtresses et d’éjaculer de façon sensible en Elles. Il suffit d’une Maîtresse déclarant ne pas avoir « senti l’éjaculation » ou bien sur d’une Maîtresse que le soumis n’a pas pu pénétrer pour déclencher la mise sous surveillance.
D’autres tests existent encore, tel celui de rigidité de la verge où la Maîtresse tente de plier la verge de l’étalon, en son milieu en rabattant le gland sur les testicules. Si d’aventure Elle y parvient, là encore, le soumis est mis sous surveillance. Ou bien le test de mesure de résistance des testicules. Ce dernier est pratiqué par les sept Maîtresses du Collège sur une sélection de sept soumis. A tour de rôle, Chacune va écraser les testicules du soumis situé en face d’Elle, jusqu’à ce qu’il perde connaissance. Le temps de résistance passé avant l’évanouissement est noté. Compte-tenu de l’entrainement des Amazones, il n’est jamais arrivé que l’une d’elles ne parvienne pas à provoquer la perte de connaissance du soumis. Après réveil de ces derniers, il y a permutation circulaire et le processus est repris. En fin de rotation, le total des temps de résistance de chaque soumis avec chaque Maîtresse est effectué, et là encore le soumis titulaire du plus petit total est mis sous surveillance. On raconte aussi que la Maîtresse qui a le plus grand total (donc celle qui a mis le pus de temps à provoquer l’évanouissement des soumis) est mise sous surveillance.
Après ce test de stress des testicules est souvent pratiquée une mesure de celles-ci. La mesure la plus pertinente est celle du volume. Il est pratiqué en détendant au maximum le scrotum par trempage dans de l’eau très chaude, puis par ligature de celui-ci afin de localiser les deux glandes au plus bas, et enfin par immersion de la partie ligaturée dans un verre gradué plein. La lecture du volume d’eau manquant donne le volume des glandes. Le gagnant de ce concours est récompensé par sept copulations successives, une avec chacune des Maîtresses, s’il en est encore capable. Là encore, le perdant est mis sous surveillance.
skweezme
02-03-2011, 03:18 PM
This sounds so sexy! But my O Level French isn't up to it :(
crushee
02-03-2011, 06:39 PM
Sorry about the language, Skweezeme, my writing is much easier in French!
By the way, congratulations for your posts!
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