GregBB
11-07-2012, 03:48 PM
Hi,
newcomer in this forum, I just wanted to narrate a little story, fictitious of course ...
In French language for the moment, but I will try translate it.
I know there is already a similar post, ( http://femaledom.com/forum/showthread.php?t=12845 )
but I was not sure if i can put another story in this thread...
The beginning for the moment :
La piscine :
Ensemble depuis plusieurs mois, François était sur son nuage, sa compagne Laetitia était tout ce qu’il recherchait chez une femme, intelligente, vive, malicieuse, trop même, trop pour lui.
Elle avait décidé de passer l’après-midi dans la piscine de sa petite résidence. François n’avait pas eu trop le choix, d’ailleurs en général c’était toujours elle qui prenait les décisions, les sorties.
Ravi de pouvoir l’admirer dans en maillot de bains, il était parti s’acheter un boxer un peu sexy pour l’aguicher un peu. Ils se retrouvèrent à la piscine, il n’en revenait toujours pas, qu’elle était belle, la peau claire avec des cheveux mi- long bruns légèrement ondulés, de grands yeux verts expressif. Grande et fine quoique légèrement potelée, avec une généreuse poitrine que le maillot noir une pièce avait du mal de contenir. Elle était en maillot de bain là devant lui avec une longue jupe fine romantique avec de petites fleurs. La finesse de la robe couvrait de belles fesses en formes de poires, une invitation aux caresses, fermes mais pas trop pour être saisies par des mains viriles.
Dès qu’elle l’aperçu, elle s’approcha de lui avec allant, un grand sourire aux lèvres, lui déposant un tendre baiser sur les lèvres. Elle l’emmena vers un coin un peu à l’écart des autres personnes sous des arbres, un peu à l’ombre.
Dans ce coin un jardinier était occupé à tailler une haie, François remarqua que Lætitia regardait le jardinier avec un étrange regard, c’etait une petite racaille, bien obligée de travailler. Il avait un ait roublard, de bonne humeur, mais séducteur. Il la regarda d’un air gourmand, trop même.
D’autres hommes l’avait bien remarquée, lorsqu’ils avaient traversé l’allée qui menait à la piscine, leurs regard se dirigeant vers ses gros seins, mais là, le regard de cette petite racaille lui avait déplu, sans pouvoir comprendre pourquoi, autant il était fier de rendre jaloux les autres hommes, là il ressentait un certain malaise, doublé de jalousie et de désir.
Sitôt les serviettes étalées sur l’herbe, il se déshabilla, tout fier de se montrer devant elle, il était grand et mince, et espérait vraiment l’exciter avec ce boxer gris perle moulant. Sans la regarder, il se dirigea droit dans la piscine, fit quelques longueurs et cherchait le regard d’autres filles sur lui. Pas très loin dans l’eau deux étudiantes le regardaient en gloussant.
Étaient-elles émoustillées ou se moquent-elles de moi songea-t-il? Il ne sut répondre, il oublia cette question en sortant de l’eau pour se rendre auprès de Lætitia.
Il pensait qu’elle le regarderait nager, mais elle depuis sa serviette elle semblait bavarder avec le jardiner à quelques mètres d’elle, toujours occupé à tailler sa haie.
En le voyant arriver, elle le scruta du regard, tout son corps, ce regard ne le laissa pas insensible, un peu d’excitation venant au fond de lui. Il y avait une sorte de colère dans ce regard, mais aussi d’excitation et d’une malice, l’idée de le taquiner et de lui préparer quelque chose.
Il s’assit à côté d’elle fièrement se sécha un peu, et lui demanda d’un air de défi comment elle trouvait son boxer.
Elle prit un air choqué et furieuse, bien qu’elle semblait au fond d’elle très amusée ; "tu n’as pas honte lui dit-elle ? "
"de quoi" répondit-il d’un air vraiment surpris, lui qui s’attendait à des compliments…
"Ton boxer" ! dit-elle d’une voix réprobatrice en pointant son index droit sur son membre, "on voit tout" dit-elle en le grondant.
"Quoi on voit tout ?"
"Mais tu le fait exprès" dit-elle avec un grand sourire sadique : "c’est tellement moulant qu’on devine tout : tes couilles et ta queue". Elle regardait ce qu’elle venait de pointer du doigt avec un air faussement en colère.
"Et ben quoi répondit-il d’un air effronté, qu’est-ce que ça peut faire ? En plus t’exagère ma pauvre fille on voit rien du tout, c’est toi qui fantasme."
C’était osé, en la traitant de « pauvre fille » il voulait la provoquer un peu et se venger de sa frustration, il pensait au contraire que ça l’exciterait plus qu’autre chose.
Cette phrase fit comme un électrochoc sur elle, elle le regarda en baissant la tête et en fixant son ses yeux sur lui, ses yeux était exprimaient tant de choses ils semblaient dire, toi tu vas voir ce qui va t’arriver.
Pour autant elle semblait insensible à la remarque blessante, elle avait l’air de réfléchir à ce qu’elle allait faire avec un calme total. Lorsqu’elle le fixa il sentit une chaleur au fond de lui naitre, tout comme de la gêne, c’est vrai que ce boxer était très, trop moulant, il se sentait nu devant elle. Ça le gênait, mais cette honte l’excitait tout en étant mal à l’aise.
"On voit tout continua" t-elle" d’une voix pudique et butée, "mais non" insista –il".
"Ah bon ? Vraiment" dit-elle d’une voix joueuse qui le surprit. "Dans ce cas, je pourrais rien deviner si tu m’affirme que ce boxer laisse tout voir n’est-ce pas ?" Il ne saisit pas le sens de cette question.
Elle se retourna sembla chercher quelque un instant quelques chose, il l’entendit dire, " ben voilà, c’est bien ça" avec la voix contente d’une petite fille à qui on a cédé à son caprice. Lorsqu’elle revint vers lui elle tenait à la main un petit bout de bois, une petite baguette fine.
"Tu dis qu’on devine rien n’est-ce pas ?" Insista-elle comme pour lui donner une dernière chance. Il était allongé sur le dos, elle assise à côté de lui et ne répondit qu’en tournant la tête de gauche à droite.
"Alors paf", dit-elle : elle venait de lui donner un petit coup léger en plein sur les couilles. Il se redressa, il n’eut pas mal mais ce contact inattendu était si érotique, autant parce qu’il attendait déjà depuis des jours une nouvelle partie de jambes l’air, ou que simplement qu’elle le caresse, lui prenne avec fermeté les couilles pendant qu’elle le branlerait. Elle savait que lorsque qu'elle le tenait par les couilles, que cela devait lui faire un peu mal, mais n’avait rien dit, comprenant très bien ce qui l’excitait d’avantage.
Il se redressa en la fixant droit dans les yeux, il sentait une chaleur monter au fond de son ventre.
"Ben alors c’est quoi ça ?" Lui demanda—il avec un faible reproche.
Intérieurement, il n’osait y croire, Lætitia, venait de lui donner directement un petit coup sur les couilles. Il n’aurait jamais osé lui demander directement et se demandait si elle allait le refaire, si elle comprenait à quel point ça l’excitait, la honte et humiliation qui augmentaient son désir. Il ne bandait pas encore, réfléchissant trop à la suite.
Il serait bien plus comblé qu’il n’aurait pu le croire.
( ... )
newcomer in this forum, I just wanted to narrate a little story, fictitious of course ...
In French language for the moment, but I will try translate it.
I know there is already a similar post, ( http://femaledom.com/forum/showthread.php?t=12845 )
but I was not sure if i can put another story in this thread...
The beginning for the moment :
La piscine :
Ensemble depuis plusieurs mois, François était sur son nuage, sa compagne Laetitia était tout ce qu’il recherchait chez une femme, intelligente, vive, malicieuse, trop même, trop pour lui.
Elle avait décidé de passer l’après-midi dans la piscine de sa petite résidence. François n’avait pas eu trop le choix, d’ailleurs en général c’était toujours elle qui prenait les décisions, les sorties.
Ravi de pouvoir l’admirer dans en maillot de bains, il était parti s’acheter un boxer un peu sexy pour l’aguicher un peu. Ils se retrouvèrent à la piscine, il n’en revenait toujours pas, qu’elle était belle, la peau claire avec des cheveux mi- long bruns légèrement ondulés, de grands yeux verts expressif. Grande et fine quoique légèrement potelée, avec une généreuse poitrine que le maillot noir une pièce avait du mal de contenir. Elle était en maillot de bain là devant lui avec une longue jupe fine romantique avec de petites fleurs. La finesse de la robe couvrait de belles fesses en formes de poires, une invitation aux caresses, fermes mais pas trop pour être saisies par des mains viriles.
Dès qu’elle l’aperçu, elle s’approcha de lui avec allant, un grand sourire aux lèvres, lui déposant un tendre baiser sur les lèvres. Elle l’emmena vers un coin un peu à l’écart des autres personnes sous des arbres, un peu à l’ombre.
Dans ce coin un jardinier était occupé à tailler une haie, François remarqua que Lætitia regardait le jardinier avec un étrange regard, c’etait une petite racaille, bien obligée de travailler. Il avait un ait roublard, de bonne humeur, mais séducteur. Il la regarda d’un air gourmand, trop même.
D’autres hommes l’avait bien remarquée, lorsqu’ils avaient traversé l’allée qui menait à la piscine, leurs regard se dirigeant vers ses gros seins, mais là, le regard de cette petite racaille lui avait déplu, sans pouvoir comprendre pourquoi, autant il était fier de rendre jaloux les autres hommes, là il ressentait un certain malaise, doublé de jalousie et de désir.
Sitôt les serviettes étalées sur l’herbe, il se déshabilla, tout fier de se montrer devant elle, il était grand et mince, et espérait vraiment l’exciter avec ce boxer gris perle moulant. Sans la regarder, il se dirigea droit dans la piscine, fit quelques longueurs et cherchait le regard d’autres filles sur lui. Pas très loin dans l’eau deux étudiantes le regardaient en gloussant.
Étaient-elles émoustillées ou se moquent-elles de moi songea-t-il? Il ne sut répondre, il oublia cette question en sortant de l’eau pour se rendre auprès de Lætitia.
Il pensait qu’elle le regarderait nager, mais elle depuis sa serviette elle semblait bavarder avec le jardiner à quelques mètres d’elle, toujours occupé à tailler sa haie.
En le voyant arriver, elle le scruta du regard, tout son corps, ce regard ne le laissa pas insensible, un peu d’excitation venant au fond de lui. Il y avait une sorte de colère dans ce regard, mais aussi d’excitation et d’une malice, l’idée de le taquiner et de lui préparer quelque chose.
Il s’assit à côté d’elle fièrement se sécha un peu, et lui demanda d’un air de défi comment elle trouvait son boxer.
Elle prit un air choqué et furieuse, bien qu’elle semblait au fond d’elle très amusée ; "tu n’as pas honte lui dit-elle ? "
"de quoi" répondit-il d’un air vraiment surpris, lui qui s’attendait à des compliments…
"Ton boxer" ! dit-elle d’une voix réprobatrice en pointant son index droit sur son membre, "on voit tout" dit-elle en le grondant.
"Quoi on voit tout ?"
"Mais tu le fait exprès" dit-elle avec un grand sourire sadique : "c’est tellement moulant qu’on devine tout : tes couilles et ta queue". Elle regardait ce qu’elle venait de pointer du doigt avec un air faussement en colère.
"Et ben quoi répondit-il d’un air effronté, qu’est-ce que ça peut faire ? En plus t’exagère ma pauvre fille on voit rien du tout, c’est toi qui fantasme."
C’était osé, en la traitant de « pauvre fille » il voulait la provoquer un peu et se venger de sa frustration, il pensait au contraire que ça l’exciterait plus qu’autre chose.
Cette phrase fit comme un électrochoc sur elle, elle le regarda en baissant la tête et en fixant son ses yeux sur lui, ses yeux était exprimaient tant de choses ils semblaient dire, toi tu vas voir ce qui va t’arriver.
Pour autant elle semblait insensible à la remarque blessante, elle avait l’air de réfléchir à ce qu’elle allait faire avec un calme total. Lorsqu’elle le fixa il sentit une chaleur au fond de lui naitre, tout comme de la gêne, c’est vrai que ce boxer était très, trop moulant, il se sentait nu devant elle. Ça le gênait, mais cette honte l’excitait tout en étant mal à l’aise.
"On voit tout continua" t-elle" d’une voix pudique et butée, "mais non" insista –il".
"Ah bon ? Vraiment" dit-elle d’une voix joueuse qui le surprit. "Dans ce cas, je pourrais rien deviner si tu m’affirme que ce boxer laisse tout voir n’est-ce pas ?" Il ne saisit pas le sens de cette question.
Elle se retourna sembla chercher quelque un instant quelques chose, il l’entendit dire, " ben voilà, c’est bien ça" avec la voix contente d’une petite fille à qui on a cédé à son caprice. Lorsqu’elle revint vers lui elle tenait à la main un petit bout de bois, une petite baguette fine.
"Tu dis qu’on devine rien n’est-ce pas ?" Insista-elle comme pour lui donner une dernière chance. Il était allongé sur le dos, elle assise à côté de lui et ne répondit qu’en tournant la tête de gauche à droite.
"Alors paf", dit-elle : elle venait de lui donner un petit coup léger en plein sur les couilles. Il se redressa, il n’eut pas mal mais ce contact inattendu était si érotique, autant parce qu’il attendait déjà depuis des jours une nouvelle partie de jambes l’air, ou que simplement qu’elle le caresse, lui prenne avec fermeté les couilles pendant qu’elle le branlerait. Elle savait que lorsque qu'elle le tenait par les couilles, que cela devait lui faire un peu mal, mais n’avait rien dit, comprenant très bien ce qui l’excitait d’avantage.
Il se redressa en la fixant droit dans les yeux, il sentait une chaleur monter au fond de son ventre.
"Ben alors c’est quoi ça ?" Lui demanda—il avec un faible reproche.
Intérieurement, il n’osait y croire, Lætitia, venait de lui donner directement un petit coup sur les couilles. Il n’aurait jamais osé lui demander directement et se demandait si elle allait le refaire, si elle comprenait à quel point ça l’excitait, la honte et humiliation qui augmentaient son désir. Il ne bandait pas encore, réfléchissant trop à la suite.
Il serait bien plus comblé qu’il n’aurait pu le croire.
( ... )